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  • Jewish Museum Berlin  (5)
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  • 1
    ISBN: 9782844269423
    Language: French
    Pages: 207 Seiten
    Year of publication: 2023
    Keywords: Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: This catalog proposes 7 thematic essays highlighting the richness of Moi Ver's work and his biography. 25 notes will complete the corpus of texts, as well as a chronology and a bibliography
    Note: Rückseite Titelblatt: Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition présentée au Centre Pompidou, Paris, Galerie 0, du 12 avril au 28 août 2023; au Musée de Varsovie, du 11 octobre 2023 au 4 février 2024; au Tel Aviv Museum of Art, du 10 mars au 13 juillet 2024
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Book
    Book
    München ; Hamburg : Dölling und Galitz Verlag
    ISBN: 9783862181605 , 386218160X
    Language: German
    Pages: 159 Seiten , Fotografien , 31 cm
    Edition: 1. Auflage
    Year of publication: 2022
    Series Statement: Veröffentlichungen des Focke-Museum, Bremer Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte Nr. 123
    Series Statement: Veröffentlichungen des Focke-Museum, Bremer Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte
    Keywords: Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Verdrängt und vergessen – die Geschichte des Ateliers Frank reiht sich ein in das Schicksal jüdischer Fotografen und Fotografinnen, die nach der Machtübernahme der Nationalsozialisten Deutschland verlassen und sich im Exil eine neue Existenz aufbauen mussten. Über drei Generationen hinweg betrieb die Familie ein Fotogeschäft in Lilienthal. 1872 von Julius Frank (senior) gegründet, übernahm es zunächst sein Sohn Henry, der ein überregional bekannter, vielfach ausgezeichneter Berufsfotograf wurde. Seine künstlerischen Landschafts- und Porträtaufnahmen mit den durch die Künstlerkolonie Worpswede populär gewordenen Motiven aus dem Teufelsmoor vertrieb er erfolgreich im eigenen Verlag als großformatige Abzüge und Postkarten und gab sie für zahlreiche Publikationen frei. Sein Sohn Julius Frank (junior) knüpfte ab 1931 an die Erfolge an, bis ihn die politische, soziale und wirtschaftliche Ausgrenzung und Verfolgung durch die Nationalsozialisten zum Verkauf weit unter Wert zwangen. 1936 wanderte er in die USA aus, um sein Leben zu retten. In Detroit, Kalamazoo und später in Los Angeles gelang es Julius Frank, erfolgreich Fuß zu fassen. Bis zu seinem frühen Tod 1959 war er unter anderem zehn Jahre lang engster Mitarbeiter von Julius Shulman, dem bedeutendsten amerikanischen Architekturfotografen der Nachkriegsmoderne. Die Ausstellung zeigte die teils preisgekrönten Originalabzüge der Frank-Fotografen und zeichnete den schweren Weg Julius Franks in die USA und seinen beruflichen Neuanfang nach.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    ISBN: 9782711878802
    Language: French
    Pages: 240 Seiten , 27 cm
    Year of publication: 2022
    Keywords: Blumenfeld, Erwin ; Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Les tribulations d'un juif berlinois au XXe siècle Entre son installation à Paris en 1936, et les débuts de sa carrière américaine, après 1941, Erwin Blumenfeld (Berlin, 1897 — Rome, 1969) voit son destin, tant artistique que personnel, bouleversé. Sa plongée dans l’effervescence de la capitale et l’univers de la mode est brutalement interrompue par la défaite de 1940. Il connaît l’errance, l’internement comme « étranger indésirable » dans plusieurs camps français avant d’obtenir un visa pour les États-Unis. Embarqué sur le Mont Viso, il doit encore subir l’enfermement avec sa famille dans un camp français au Maroc. Blumenfeld traverse cette tourmente comme nombre d’artistes juifs, mais peut se réfugier in extremis aux États-Unis, où il renoue immédiatement avec l’industrie de la mode. La révélation de son talent de photographe La période des années 1930 aux années 1950 à laquelle l'exposition est consacrée est aussi celle de la révélation de son talent photographique, le moment d’une expérimentation artistique originale et foisonnante, poursuivie avec la même ferveur de Paris à New York. Après des débuts dadaïstes, marqués par des photomontages politiques prémonitoires sur la Seconde Guerre mondiale, Blumenfeld construit une œuvre loin des troubles du temps. Elle s’inspire et prolonge des techniques adoptées notamment par les tenants de la « Nouvelle vision », tant lors de la prise de vue qu’en laboratoire : solarisation, réticulation, surimpression, miroirs et jeux optiques, jeux d’ombres et de lumières forment pour lui une grammaire au service d’une image où la beauté et le nu féminin occupent une place centrale. Il mettra en particulier son génie au service de la photographie de mode, et sera précurseur dès les années 1940 dans le domaine de la couleur, propice à de nouvelles expérimentations. L’exposition du mahJ L’exposition suit le cheminement de l’artiste dans des séries, dont sont issues ses photographies les plus célèbres et les plus expérimentales, et les liens qu’il a pu tisser dans ses images avec les maîtres de la peinture ancienne et de l’art moderne. À New York, les magazines Harper’s Bazaar et Vogue, en particulier, seront les supports influents de son talent, déployé dans une libre exploration de formes et de couleurs, toujours sur le portrait et le nu féminin. Le parcours présente également deux reportages inédits, sur une famille gitane aux Saintes-Maries-de-la-Mer, et sur les danses des Amérindiens de Taos au Nouveau Mexique. Faisant le lien entre sa participation au mouvement Dada et son insertion dans l’avant-garde parisienne, la série du « Dictateur » et des têtes de veau trouvera sa place avant les portraits, les travaux sur la sculpture de Maillol, et les expérimentations autour du corps féminin faisant de lui un photographe recherché.
    Note: Gegenüber der Titelseite: Cet ouvrage est publié à l'occasion de l'exposition "Les tribulations d'Erwin Blumenfeld, 1930-1950", présentée au musée d'art et d'histoire du Judaïsme à Paris, du 13 octobre 2022 au 5 mars 2023." (Seite [2])
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Language: French
    Pages: 215 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2021
    Keywords: Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Est-on juif quand on ignore sa religion et sa culture ? À la fin des années 1970 et au début des années 1990, Patrick Zachmann mène une longue « enquête » sur les juifs de France, à la recherche de sa propre identité. De Paris à Marseille, de la rue des Rosiers aux Buttes-Chaumont, des plus orthodoxes aux plus laïques, de la communauté loubavitch aux grossistes du Sentier, des derniers typographes communistes du quotidien yiddish Naye Presse aux juifs les plus « invisibles », le photographe saisit les différentes facettes de la judaïcité française, alors même que, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, se produisent en France des attentats antisémites. Et, pressentant ce que l’on nommera bientôt l’« ère du témoin », il photographie le premier rassemblement de survivants de la Shoah à Jérusalem en 1981. Membre depuis 1985 de la prestigieuse agence Magnum, il fait de nombreux reportages hors de France. Son activité le mène en Afrique du Sud en 1990 pour la libération de Nelson Mandela, où il assiste à une manifestation de partisans de l’apartheid, avec croix gammées et chemises brunes. Il parcourt le Chili en 1999 à la recherche des traces des camps de prisonniers politiques dans le désert d’Atacama. Du Rwanda en 2000, six ans après le génocide des Tutsis, il rapporte des portraits de survivants et des images d’ossuaires qui évoquent implacablement l’ampleur du crime de masse. La même année, il fait le voyage d’Auschwitz-Birkenau, où furent assassinés ses grands-parents paternels, et en revient avec des images glaçantes. En contrepoint, dans les années 2010, reparti en Pologne et en Ukraine, il prend des photographies inattendues et joyeuses des pèlerinages de juifs orthodoxes sur les tombes des fondateurs du hassidisme. Enfin, retournant aux origines de sa famille maternelle, il arpente l’Oranie et l’Est marocain pour retrouver les vestiges de ce judaïsme d’Afrique du Nord présent durant des temps immémoriaux, et qui constitue aujourd’hui au Maghreb un « monde disparu », à l’instar de celui de sa famille paternelle d’origine polonaise. Première grande exposition personnelle au mahJ d’un photographe vivant, « Voyages de mémoire » présente près de 300 œuvres de Patrick Zachmann, des années 1970 aux années 2015, dont de très nombreux inédits et un film, La Mémoire de mon père. Elles nous révèlent un regard humaniste posé sur le monde, nourri par l’expérience juive et donc habité par les questions universelles de l’exil, de la disparition et de l’oubli.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    ISBN: 9783868325676 , 3868325670
    Language: German
    Pages: 131 Seiten , Fotografien , 28 cm
    Year of publication: 2020
    Keywords: Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Max Jacoby (1919–2009) floh 1937 aus seiner Geburtsstadt Koblenz nach Argentinien. Eine Kamera-Assistenz bei dem ungarischen Fotografen George Friedmann bot einen Neuanfang und zusammen mit anderen emigrierten Fotografen bildeten sie die Künstlergruppe „La Carpeta de los Diez“. 1957 wagte Jacoby den Sprung nach Berlin und blieb als freier Fotograf für Presse, Film, Buch- und Zeitschriften-Verlage. Er porträtierte Arbeiter und Künstler, Bettler und Politiker und dokumentierte das politische Leben und den Alltag in der geteilten Stadt. Dieser Band gibt nun einen Überblick über seinen Nachlass mit einer lang erwarteten Dokumentation seines bedeutenden fotografischen Werks.
    Abstract: In 1937, Max Jacoby fled from his hometown of Koblenz to Argentina. A job as camera assistant with the photographer George Friedmann offered a new beginning. Together with other emigrated photographers, he co-founded the artist group La Carpeta de los Diez. In 1957, Jacoby returned to Berlin, where he remained as a freelance photographer, portraying workers and artists, beggars and politicians and documented political and everyday life in the divided city.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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