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  • 1
    Language: French
    Pages: 86 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 1989
    Keywords: Judenemanzipation ; Ausstellung ; Frankreich
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    ISBN: 291339101X
    Language: French
    Pages: 2 Leporellos , Illustrationen
    Year of publication: 1998
    Keywords: Megillot ; Ausstellung ; Provenienz: Voolen, Edward van Donator
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    ISBN: 2876603489 , 2913391168
    Language: French
    Pages: 147 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2002
    Keywords: Glasmalerei ; Synagoge ; Ausstellung ; Stämme Israels ; Jerusalem
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Language: French
    Pages: 56 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2006
    Keywords: Konzentrationslager Weimar-Buchenwald ; Zeichnung ; Ausstellung ; Künstler
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    ISBN: 9782081360518
    Language: French
    Pages: 173 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2015
    Keywords: Magie ; Amulett ; Metallkunst ; Ausstellung ; Jüdisches Kunsthandwerk
    Abstract: « On ne doit pas croire les superstitions, mais il est [...] plus sûr de les respecter. » Yehoudah ben Samuel de Ratisbonne (vers 1150-1217), Le Livre des pieux Les traditions populaires du monde juif sont peuplées d’un cortège d’êtres surnaturels : les anges Métatron, Raziel, Raphaël et Gabriel, ou les anges médecins Sanoï, Sansanoï et Semangelof, redoutables protecteurs des hommes contre les puissances démoniaques conduites par Lilit ou Samaël. S’y manifestent aussi les dibbouks – ces esprits qui hantent le monde ashkénaze – ou le Golem créé par le Maharal de Prague au XVIe siècle. Ces êtres sont la part familière de croyances et de pratiques «magiques » destinées à la protection des accouchées et des nouveau-nés, du foyer, de la vie familiale, de la vie conjugale ou de la santé. Leur usage, mal connu, pour ne pas dire méprisé, souvent désigné par le terme de « Kabbale pratique » (Kabbalah ma’assit), regagne en vigueur aujourd’hui. Ces rites, transmis depuis l’Antiquité et souvent ancrés dans les textes religieux, sont mis en oeuvre par des Wunderrabbi dans le monde ashkénaze et des rabbins thaumaturges en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Au-delà du monde juif, ils ont largement influencé la culture occidentale. Paradoxalement, dans un univers religieux régi par la Torah, le Talmud et de nombreuses prescriptions rabbiniques, ces pratiques sont encore vivantes. Et, si l’on connaît bien leur fortune littéraire – les dibbouks inspirèrent à Shalom An-Ski une pièce fondamentale du théâtre yiddish ; Gustave Meyrink tira du mythe du Golem un roman qui irriguera l’imaginaire du XXe siècle ; quant à Lilit, elle est omniprésente dans l’art et la littérature depuis le XIXe siècle –, on ignore le plus souvent leurs sources. Avec plus de 300 oeuvres et documents, l’exposition « Magie. Anges et démons dans la tradition juive » présente de nombreux inédits provenant du Proche-Orient ancien, de l’Empire romain, de Byzance, de l’Empire ottoman, ainsi que d’Asie centrale, du Moyen-Orient, du Maghreb et du monde ashkénaze du Moyen Âge à nos jours : recueils de recettes, amulettes, colliers, pendentifs, hamsot, bracelets, vêtements contre le « mauvais oeil », bols incantatoires... Issus de collections publiques et privées, ils attestent la continuité jusqu’à nos jours des croyances dans la magie. S’appuyant sur les recherches les plus récentes des anthropologues, l’exposition traite le sujet dans une scénographie audacieuse. Elle éclaire les rapports des rabbins avec les kabbalistes pratiques et met en évidence le rôle des leaders spirituels dans la transmission du savoir magique. Elle montre comment les autorités religieuses ont encadré ces usages à défaut de pouvoir les interdire. Elle explore les échanges dans le monde gréco-romain, puis dans les pays chrétiens et musulmans depuis le Moyen Âge. Enfin, des témoignages montrent que la Kabbale pratique a toujours cours, tant en Israël que dans la diaspora, et notamment en France.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    Language: French
    Pages: 95 Seiten , Fotografien
    Year of publication: 2008
    Keywords: Israel ; Fotografie ; Ausstellung
    Abstract: Que dit l'uvre d'un artiste utilisant la photographie sur un pays où l'image est, plus qu'ailleurs, un enjeu politique ? Barry Frydlender, comme tétanisé par l̷usage qui fut fait de ce médium pendant la première Intifada (1987-1993), préféra d'abord y renoncer. Puis la découverte de ce que le travail numérique pouvait apporter à l'image, dans son décalage avec la réalité, lui permit de renouer avec la photographie en 1994. Dans une volte-face au travail de photojournalisme et au culte du bon cliché au bon moment, dû à un oeil providentiel, "the right man at the right place at the right time", Frydlender introduit patience et modestie dans la photographie. Dans ce qui est une question d'espace, il invite le temps. Il n'est pas le seul, bien sûr. Mais, dans "le bruit et la fureur" qui caractérisent la présentation d'Israël que nous livrent journaux et télévisions, la mise en image de la durée et du temps qui s'écoule confère une réelle étrangeté à ses oeuvres. Les formats panoramiques de Barry Frydlender sont trompeurs ; on pourrait y voir une fresque sociale d'Israël : des Juifs et des Arabes, des jeunes et des moins jeunes, des babas cool et des hassidim, des travailleurs immigrés et une jeunesse qui rêve d'indolence. Ses photographies, de groupe ou de foule, le plus souvent prises en extérieur, nous emmènent vers un objet inattendu. Tentons-nous d'embrasser l'ensemble, que notre regard, happé par telle physionomie, telle inscription, un objet perdu, un geste éloquent, commence à scruter, éplucher, parcourir lentement, examiner, comparer. Que se passet-il? Frydlender nous conduit vers le moment d'après, nous esquisse le paysage-autour : il contre l'instantané pour dérouler temps et espace, en abolir les limites. Le travail numérique, le collage, sur les dizaines, parfois les centaines de clichés qui composent le panorama, rusent avec l'immédiat : le soleil ne cesse de se coucher, les gens d'avancer, intérieurs et extérieurs subissent des extensions improbables qui nous donnent à voir plus que la réalité (Pitzutsiah). À la séduction indéniable de ses fresques aux couleurs attrayantes, qui semblent décrire une sorte de vie enjouée, Frydlender ajoute subrepticement sens multiples, ironie et inquiétude. Comme si le texte qui sous-tendait toutes ses photographies était un "où allons-nous ?" Une tension qu'il s'agit de dé-jouer se cache dans les moments saisis : le jeu des enfants, à la frontière invisible entre quartier juif et quartier arabe (Jaffa/Bat Yam), une réunion bucolique des Juifs ultra-orthodoxes hors contexte, hors de leur cadre naturel (Bénédiction), les jeunes dans la joie d'une sortie scolaire au musée de l'Armée, surpris par des torrents d'eau (Déluge). C'est dans un étirement de l̷espace, mais aussi dans la sédimentation photographique, que l'artiste insère cette réflexion sur le temps qui passe. Il crée une attente : il n'y a pas d'instant, le présent n'existe pas, si ce n'est dans un continuum, gros d'espoirs, gros aussi de menaces. Sédimentation de la mémoire photographique, extension de l'espace, absorption de la durée, les images de Barry Frydlender ne s'arrêtent pas là ; l'artiste est également un virtuose des signes jouant sur les rapprochements formels, sur les parallèles et les relectures du texte biblique dans un présent très profane. Ses photographies se jouent des mots, des noms, lancent des signaux qu'il nous invite à déchiffrer.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    Language: French
    Pages: 197 Seiten, [1] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2011
    Keywords: Kunst ; Ausstellung ; Tanach
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
    Language: French
    Pages: 197 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2012
    Keywords: Orientalismus ; Ausstellung ; Juden
    Abstract: La route vers l'Orient qu'empruntent les artistes au début du XIXe siècle leur donne l'occasion de découvrir les communautés juives des rives méditerranéennes. Cette rencontre inattendue offre un visage pittoresque à cet Orient souvent rêvé avant d'être visité. Eugène Delacroix au Maroc, Théodore Chassériau en Algérie emplissent leurs carnets d'esquisses de figures juives, qui nourriront de grandes toiles; la Noce juive de Delacroix (1841) occupe ici une place inaugurale. Au-delà de l'Afrique du Nord, le périple en Terre sainte est porteur d'enjeux plus symboliques. Mû par des aspirations religieuses et une nouvelle curiosité archéologique, qui s'applique de l'Égypte à la Mésopotamie, l'Occident poursuit au Proche-Orient une quête de ses origines. Les vues de Jérusalem de peintres tels que David Roberts ou Thomas Seddon traduisent ces recherches. Les empreintes des mondes juif, musulman et chrétien se fondent alors dans une peinture biblique renouvelée. Un Bédouin devant sa tente incarne une belle figure d'Abraham chez Horace Vernet, tandis qu'une synagogue de Jérusalem abrite un Jésus prêchant chez Tissot ou Hunt. L'"orientalisation" de la Bible est particulièrement sensible dans l'illustration d'épisodes ayant pour cadre l'Égypte (Joseph) ou la Perse (Esther), et tire parti des connaissances nouvelles sur l'Antiquité. Dans un contexte où est échue à la peinture la mission d'écrire l'histoire nationale, l'uvre de quelques artistes juifs européens s̷inscrit aussi dans une problématique identitaire. Ainsi pourra-t-on lire le thème de l'exil à Babylone réinterprété comme une matrice emblématique de l'histoire de la dispersion juive, pour Eduard Bendemann ou Henri-Léopold Lévy. Mais on retiendra surtout l'uvre fulgurante de Maurycy Gottlieb, qui interroge l'histoire juive au miroir de la littérature, ou du christianisme dans sa peinture Le Christ devant ses juges. Enfin, dans le cadre du projet sioniste promu par Theodor Herzl, en réaction à l'antisémitisme qui se répand en Europe, l'idée d'un "État des Juifs" en Palestine s'accompagne très vite d'une dimension artistique. Au sein de l'École d'art et d'artisanat de Bezalel, et au-delà, les artistes cherchent à élaborer une continuité entre Antiquité biblique et Orient contemporain, et à renouer avec une identité juive orientale. L'exposition présente des uvres d'Eugène Delacroix, Théodore Chassériau, Alfred Dehodencq, Jean Lecomte du Nouÿ, Wilhelm Gentz, Charles Cordier, Lucien Lévy-Dhurmer, David Roberts, Thomas Seddon, Jean-Léon Gérôme, Gustav Bauernfeind, Alexandre Bida, Gustave Moreau, Alexandre Cabanel, Horace Vernet, Lawrence Alma-Tadema, William Holman Hunt, James Tissot, Maurycy Gottlieb, Lesser Ury, Zeev Raban, Ephraïm Moses Lilien, Abel Pann, Reuven Rubin, Nahum Gutman...
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
  • 10
    Language: French
    Pages: 101 Seiten, [1] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2016
    Keywords: Installation ; Ausstellung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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