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  • Musée d'art et d'histoire du Judaïsme  (46)
  • Maimonides, Moses
  • Моше Бен Нахман
Material
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  • 1
    ISBN: 9782081225398
    Language: French
    Pages: 280 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2009
    Keywords: Buch ; Buchkunst ; Verlag ; Jiddisch ; Ausstellung
    Abstract: « Nous qui venions tout juste de prendre en main le crayon et le pinceau, nous nous sommes aussitôt mis à “anatomiser”, non seulement la nature autour de nous, mais aussi nous-mêmes. Qui étions-nous ? Quelle place tenions-nous dans le concert des nations ? Quelle était notre culture ? Et quel devait être notre art ? Tout cela s’est joué dans quelques bourgades de Lituanie, de Biélorussie, d’Ukraine... » El Lissitzky, 1923 Dans ce texte intitulé "Mémoires de la synagogue de Mogilev, Lissitzky revient sur cette période très brève, mais intense et fondatrice, au cours de laquelle de jeunes artistes juifs – toute une génération – se lancèrent avec ardeur dans une entreprise où soufflait l’esprit de la révolution : élaborer une expression artistique spécifiquement juive, qui puisse concilier la tradition à laquelle ils retournaient avec la modernité dans laquelle ils s’engageaient. Des expéditions ethnographiques sillonnaient alors les bourgades juives d’Ukraine et effectuaient des collectes d’objets, des relevés de peintures de synagogues et de pierres tombales, qui révélèrent aux artistes la richesse insoupçonnée de leur patrimoine. De cette révélation, en Russie et en Pologne, naît une avant-garde artistique intimement liée à une littérature et un théâtre yiddish en plein essor. « Nous avons tout à coup découvert la magie de la yiddishkeit, nous avons été entraînés par le grand mouvement d’émancipation spirituelle, par la résurrection de notre conscience nationale, par le combat des masses ouvrières juives pour la justice sociale. Nous, artistes juifs semi-assimilés, sommes retournés vers le peuple. C’était, pour ainsi dire, une contre-émancipation... » Henryk Berlewi, 1955
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  • 2
    Language: French
    Pages: 159 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2009
    Keywords: Camondo, Familie ; Bankier ; Kunstsammler ; Philanthropie ; Ausstellung
    Abstract: La banque Camondo est fondée à Constantinople en 1802 par Salomon-Jacob Camondo et ses fils, Isaac et Abraham-Salomon. En 1832, à la mort d'Isaac, Abraham-Salomon hérite de la banque. Il édifiera l'une des plus grandes fortunes de l'Empire ottoman et sera secondé, à partir des années 1850, par ses petits-fils Abraham-Béhor et Nissim. Banquiers des vizirs, les Camondo participent au développement économique de la Turquie. Philanthropes, ils sont soucieux de s'investir fortement au sein de la communauté juive ottomane. Admirateurs des Lumières, ils veulent faire entrer les juifs de l'Empire dans la modernité par l'éducation et créent la première école juive enseignant les matières profanes en français et en turc. En 1864, ils co-fondent le comité régional de l'Alliance israélite universelle à Constantinople. En 1865 ils adoptent la nationalité italienne et s'engagent, par des dons généreux, dans la réunification menée par Victor Emmanuel II. Leur action leur vaudra d'être anoblis. En 1869-1870, la famille émigre à Paris et y transfère le siège social de la banque qui prend part à de nombreux projets tel le financement du canal de Suez. En 1872, les Camondo choisissent d'habiter la plaine Monceau.
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  • 3
    Language: French
    Pages: 103 Seiten , überw. Ill.
    Year of publication: 2008
    Keywords: New Bauhaus ; Bauhaus ; Fotograf ; Ausstellung ; USA
    Abstract: The Musée d'art et d'histoire du Judaïsme is organising the first French retrospective of the photographer and designer Nathan Lerner, whose career was closely linked to the New Bauhaus school in Chicago. The son of Ukrainian Jewish immigrants, Lerner was born in Chicago in 1913 and while studying painting at the Art Institute began photographing the poor Maxwell Street district of the city from 1935. His photographs show us the America of the Depression years and the misery of the population of this immigrant district, many of whom were Jews from Eastern Europe. Lerner photographed these people with great empathy but not with the eye of a reporter. His concerns were primarily formal, particularly composition and framing. These social photographs are contemporary to those of Walker Evans, Helen Levitt and Dorothea Lange. On Archipenko̷s advice, Lerner enrolled at the New Bauhaus as soon as the school was opened by László Moholy-Nagy in 1937. He met Arthur Siegel and Harry Callahan there, and immediately began experimenting with abstract photography, using a light box to created compositions of everyday objects, ĺlight drawings̷ and photogrammes. He assisted György Kepes in the Light workshop from 1939 until he took over from him in 1941. In late 1945, Moholy-Nagy asked him to direct the teaching of technical drawing at the school (which had been renamed the School of Design). In 1946, he became the school̷s dean then director of studies. In 1949, he left the school, distanced himself from photography and set up a design studio, Lerner Design Associates, specialised in consumer items: packages and bottles, toys and ĺassemble-yourself̷ furniture. He also designed a modular house, which he built himself in 48 hours in 1951, and the familiar plastic ̮HoneybearŁ jar, one of American marketing̷s most emblematic objects. In 1968, he married the pianist Kiyoko Asai, who introduced him to Japan, and from 1973, there were several exhibitions of his work in the United States, Berlin and Japan. Nathan Lerner died in 1997. This exhibition was made possible by the generosity of his wife, Kiyoko Lerner, who donated a major collection of his photographs to the Musée d'art et d'histoire du Judaïsme. This event has also been an opportunity to recall that Nathan and Kiyoko Lerner protected and revealed the unique and unclassifiable work of Henry Darger, one of the major figures of American Art Brut.
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  • 4
    Language: French
    Pages: 207 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2016
    Keywords: Künstler ; Malerei ; Ausstellung
    Abstract: Arnold Schönberg (1874-1951) est l’un des compositeurs majeurs du xxe siècle, mais il fut aussi théoricien, enseignant, poète et peintre. En effet, à partir de 1908 et pendant une dizaine d’années, il s’est adonné à la peinture, en parallèle de son activité musicale. Portraits et autoportraits, paysages imaginaires à la limite de l’abstraction et études de décors d’opéra constituent un œuvre hors norme, miroir de ses états d’âme qui ne trouvaient pas de forme musicale. La redécouverte de Schönberg à l’aune de sa production picturale est ainsi l’occasion de se replonger dans les cercles artistiques viennois du tournant du xxe siècle avec Richard Gerstl, Oskar Kokoschka, Max Oppenheimer ou Egon Schiele, mais aussi de pénétrer les coulisses de son amitié avec Vassily Kandinsky, pour lequel la musique de Schönberg joua un rôle fondamental. La relation de Schönberg à son identité juive est également abordée par nombre d’œuvres, écrits et compositions qui témoignent d’un engagement méconnu, tant musical que politique. Arnold Schönberg. Peindre l’âme pose un regard renouvelé sur l’artiste, en suivant sa trajectoire à travers des questions inédites en France, à la croisée des champs artistiques et des préoccupations culturelles et religieuses qui ont irrigué son œuvre. Les auteurs Sous la direction de Jean-Louis Andral, directeur du musée Picasso, Antibes, et Fanny Schulmann, conservatrice chargée de l’art moderne et contemporain, musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris Textes de : Jean-Louis Andral, directeur du musée Picasso, Antibes Esteban Buch, directeur d'études à l’École des hautes études en sciences sociales, Paris, directeur du centre de recherches sur les Arts et le Langage Steven J. Cahn, professeur de théorie musicale, conservatoire de l’université de Cincinnati Romeo Castellucci, metteur en scène Angela Lampe, conservatrice des collections modernes, musée national d’Art moderne, Centre Pompidou, Paris Jean-Claude Marcadé, directeur de recherche émérite au CNRS Therese Muxeneder, responsable des collections au Arnold Schönberg Center, Vienne Fanny Schulmann, conservatrice chargée de l’art moderne et contemporain, musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris Patrick Werkner, professeur d’histoire de l’art et directeur des collections, Universität für angewandte Kunst, Vienne.
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  • 5
    Language: French
    Pages: 101 Seiten, [1] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2016
    Keywords: Installation ; Ausstellung
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  • 6
    Language: French
    Pages: 179 Seiten, [2] Blatt , Ill.
    Year of publication: 2017
    Keywords: Golem ; Ausstellung
    Abstract: Être artificiel animé à l’aide de rituels magiques, le Golem est l’une des légendes juives les plus célèbres et une figure majeure de la littérature fantastique. Celui que l’on a coutume de représenter sous les traits d’un géant aux pouvoirs surhumains, protecteur et destructeur à la fois, n’a cessé de fasciner et d’endosser de multiples significations au fil du temps. Le Golem est à l’origine de nombreuses créatures artificielles, imaginaires ou réelles. Préfiguration du robot, de l’ordinateur et plus généralement d’un monde envahi par un machinisme croissant, le Golem est aussi le précurseur des superhéros, des androïdes et des avatars numériques. Rarement un mythe aura été aussi fécond pour penser tant le pouvoir créateur de l’homme que sa démesure. D’un Sefer Yetsirah (Livre de la création) de 1562 à Terminator II de James Cameron (1991), cet ouvrage explore les différentes dimensions du mythe, ses résonances actuelles et sa vaste fortune, à travers une sélection originale d’œuvres d’écrivains, plasticiens, auteurs de bandes dessinées, cinéastes, roboticiens ou créateurs de jeux vidéo. Golem. Avatars d’une légende d’argile démontre comment cette légende, retravaillée par les artistes, reste plus que jamais d’actualité. Les auteurs Ouvrage sous la direction de Ada Ackerman, historienne de l’art, chargée de recherches au CNRS, unité mixte de recherche Thalim (Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité) Textes de : Elizabeth R. Baer, chercheuse émérite invitée au département des Études sur l’Holocauste, Stockton University, New Jersey Emily D. Bilski, commissaire d’exposition indépendante, historienne de l’art moderne et contemporain, spécialiste de la vie culturelle juive Paul Dumouchel, professeur à l’École doctorale d’éthique et des sciences nouvelles, université Ritsumeikan, Kyoto Michel Faucheux, maître de conférences, ancien directeur du Centre des Humanités, Institut national des sciences appliquées, Lyon Dorothée Morel, docteur ès lettres, université Paris-Sorbonne – Paris 4 Marc-Alain Ouaknin, philosophe, professeur des universités, université de Bar-Ilan, Ramat Gan, producteur de l'émission « Talmudiques » sur France Culture Michaela Sidenberg, conservatrice, département des Arts visuels, Židovské muzeum, Prague
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  • 7
    Book
    Book
    Paris
    Language: French
    Pages: 13 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2011
    Keywords: Ausstellung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
    Book
    Book
    Paris : Editions Gallimard
    Language: French
    Pages: 336 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2018
    Keywords: Freud, Sigmund ; Psychoanalyse ; Ausstellung
    Abstract: Cette exposition, proposée à l’occasion des vingt ans du mahJ, est la première présentée en France sur Sigmund Freud (1856-1939). Par un ensemble de 200 pièces – peintures, dessins, gravures, ouvrages, objets et dispositifs scientifiques –, dont des œuvres majeures de Gustave Courbet (L’Origine du monde), Oskar Kokoschka, Mark Rothko ou Egon Schiele, elle jette un regard nouveau sur le cheminement intellectuel et scientifique de l’inventeur de la psychanalyse. En France, l’enseignement de Freud est d’abord diffusé par les cercles littéraires, surréalistes en particulier, dans le sillage du symbolisme de la fin du XIXe siècle. Or cette réduction à la littérature ignore la rationalité dont se réclame la doctrine freudienne. Le parcours de l’exposition insiste donc sur les années viennoises puis parisiennes de Freud, héritier de Darwin, qui débute sa carrière en tant que neurologue, et dont l’intérêt pour la biologie ne va cesser de croître – Une leçon clinique à la Salpétrière d'André Brouillet (1857-1914) et le baquet à magnétiser de Franz Anton Mesmer (1734-1815), présents dans l'exposition, sont prêtés tous deux pour la première fois. Ses premières recherches s’enracinent dans la tentative de tracer des schémas et des esquisses souvent semblables à ceux que les neurosciences s’efforcent alors de dessiner pour expliquer la croissance et le développement des neurones et le fonctionnement du cerveau. L'exposition fait redécouvrir l’invention de la psychanalyse. Si cette démarche est née de l’observation éminemment visuelle des symptômes, photographiés, dessinés, mis en scène autour de Jean-Martin Charcot (1825-1893) à la Salpêtrière, elle trouve sa spécificité et son efficacité à refuser l’image. Elle s’épanouit dans la seule écoute, dans les associations de mots, en l’absence de toute représentation visuelle. Le lisible contre le visible, le mot contre l'image : Freud se pose ici en héritier de Moïse, grand briseur d’images. La spiritualité juive, à défaut d’une foi et d’une pratique, irrigue ses travaux, de L’interprétation des rêves – ouvrage dont l’herméneutique talmudique n’est pas absente –, jusqu’à l’essai final, Moïse et le monothéisme. Si Freud lui-même, né dans une famille juive originaire de Galicie gagnée par les idées de la Haskalah (les Lumières juives), affirme son athéisme et tient sa production scientifique à l’écart de son ascendance juive, tout comme du milieu viennois où il a vécu, c’est d’abord pour faire de la psychanalyse une science universelle, détachée de tout particularisme religieux ou culturel. Mais la démarche psychanalytique n’est pas étrangère à la tradition interprétative propre au judaïsme. L'exposition bénéficie de prêts exceptionnels du musée Freud de Londres, du musée d’Orsay et du musée national d’Art moderne, ainsi que de grands musées autrichiens et allemands (Leopold Museum, Österreichische Galerie Belvedere, Vienne ; Museum der Bildenden Künste, Leipzig…).
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
    Book
    Book
    Paris : Lienart
    ISBN: 9782359060249
    Language: French
    Pages: 190 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2010
    Keywords: Künstler ; Malerei ; Textilkunst ; Stickerei ; Bildteppich ; Ausstellung ; Provenienz: Voolen, Edward van Donator
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 10
    Language: French
    Pages: 32 Seiten , zahlr. Ill.
    Year of publication: 2012
    Keywords: Algerien
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