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  • Ausstellung  (37)
  • Malerei  (3)
  • Buchkunst  (2)
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Subjects(RVK)
  • 1
    ISBN: 9782755702439
    Language: French
    Pages: 366 S. , zahlr. Ill. , 28 cm
    Year of publication: 2007
    Series Statement: PanamaMusées
    DDC: 759
    RVK:
    Keywords: Ausstellungskatalog ; Ausstellungskatalog 2007 ; Rembrandt Harmensz van Rijn 1606-1669 ; Malerei ; Grafik ; Juden ; Christ ; Geschichte 1600-1700 ; Amsterdam ; Juden
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    ISBN: 9782081225398
    Language: French
    Pages: 271 S. , zahlr. Ill. , 28 cm
    Year of publication: 2009
    DDC: 741
    RVK:
    RVK:
    Keywords: Avant-garde (Aesthetics) Exhibitions History 20th century ; Jewish art Exhibitions ; Art, Russian Exhibitions 20th century ; Jewish artists Exhibitions ; Yiddish imprints Bibliography ; Exhibitions ; Ausstellungskatalog ; Ausstellungskatalog 2009 ; Jiddisch ; Buchkunst ; Geschichte 1914-1939 ; Juden ; Kunst ; Avantgarde
    Note: Exhibition catalogue
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    ISBN: 9782081225398
    Language: French
    Pages: 280 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2009
    Keywords: Buch ; Buchkunst ; Verlag ; Jiddisch ; Ausstellung
    Abstract: « Nous qui venions tout juste de prendre en main le crayon et le pinceau, nous nous sommes aussitôt mis à “anatomiser”, non seulement la nature autour de nous, mais aussi nous-mêmes. Qui étions-nous ? Quelle place tenions-nous dans le concert des nations ? Quelle était notre culture ? Et quel devait être notre art ? Tout cela s’est joué dans quelques bourgades de Lituanie, de Biélorussie, d’Ukraine... » El Lissitzky, 1923 Dans ce texte intitulé "Mémoires de la synagogue de Mogilev, Lissitzky revient sur cette période très brève, mais intense et fondatrice, au cours de laquelle de jeunes artistes juifs – toute une génération – se lancèrent avec ardeur dans une entreprise où soufflait l’esprit de la révolution : élaborer une expression artistique spécifiquement juive, qui puisse concilier la tradition à laquelle ils retournaient avec la modernité dans laquelle ils s’engageaient. Des expéditions ethnographiques sillonnaient alors les bourgades juives d’Ukraine et effectuaient des collectes d’objets, des relevés de peintures de synagogues et de pierres tombales, qui révélèrent aux artistes la richesse insoupçonnée de leur patrimoine. De cette révélation, en Russie et en Pologne, naît une avant-garde artistique intimement liée à une littérature et un théâtre yiddish en plein essor. « Nous avons tout à coup découvert la magie de la yiddishkeit, nous avons été entraînés par le grand mouvement d’émancipation spirituelle, par la résurrection de notre conscience nationale, par le combat des masses ouvrières juives pour la justice sociale. Nous, artistes juifs semi-assimilés, sommes retournés vers le peuple. C’était, pour ainsi dire, une contre-émancipation... » Henryk Berlewi, 1955
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    ISBN: 9783882707991
    Language: German
    Pages: 47 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2008
    Keywords: Comic ; Ausstellung
    Abstract: Die Ausstellung, die bereits mit überwältigendem Erfolg in Paris und Amsterdam präsentiert wurde, zeichnet die spannende Geschichte des Comics als Medium jüdischer Erinnerung nach. Auch in den bunten Bildern mit den Sprechblasen finden sich zahlreiche Bezüge zu jüdischen Themen: Superhelden und ihre jüdischen "Väter", witzige, skurrile und tragische Geschichten, jüdischer Alltag und die Schatten des Holocaust. Superman ist trotz seiner jüdischen Schöpfer kein jüdischer Held, und der Comic wurde auch nicht von jüdischen Zeichnern erfunden. Dennoch fällt auf, dass sich viele bedeutende Comickünstler auf jüdische Geschichte oder individuelle jüdische Biografien beziehen. Sie tragen so selbst wiederum zur Ausformung eines kollektiven jüdischen Gedächtnisses und Selbstbildes bei. Gezeigt werden Werke von über 40 Comiczeichnern von Comicstrips aus Zeitungen des frühen 20. Jahrhunderts über Comic Books, die in den 1930er Jahren einen Boom erlebten, bis hin zu aktuellen Titeln und Projekten. Neben den Superman-Erfindern Joe Shuster und Jerry Siegel sind beispielsweise Altmeister des Comics wie Will Eisner und Joe Kubert vertreten, es werden aber auch Arbeiten zeitgenössischer Künstler wie etwa Art Spiegelman, Rutu Modan, Ben Katchor oder Joann Sfar ausgestellt.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    Language: French
    Pages: 103 Seiten , überw. Ill.
    Year of publication: 2008
    Keywords: New Bauhaus ; Bauhaus ; Fotograf ; Ausstellung ; USA
    Abstract: The Musée d'art et d'histoire du Judaïsme is organising the first French retrospective of the photographer and designer Nathan Lerner, whose career was closely linked to the New Bauhaus school in Chicago. The son of Ukrainian Jewish immigrants, Lerner was born in Chicago in 1913 and while studying painting at the Art Institute began photographing the poor Maxwell Street district of the city from 1935. His photographs show us the America of the Depression years and the misery of the population of this immigrant district, many of whom were Jews from Eastern Europe. Lerner photographed these people with great empathy but not with the eye of a reporter. His concerns were primarily formal, particularly composition and framing. These social photographs are contemporary to those of Walker Evans, Helen Levitt and Dorothea Lange. On Archipenko̷s advice, Lerner enrolled at the New Bauhaus as soon as the school was opened by László Moholy-Nagy in 1937. He met Arthur Siegel and Harry Callahan there, and immediately began experimenting with abstract photography, using a light box to created compositions of everyday objects, ĺlight drawings̷ and photogrammes. He assisted György Kepes in the Light workshop from 1939 until he took over from him in 1941. In late 1945, Moholy-Nagy asked him to direct the teaching of technical drawing at the school (which had been renamed the School of Design). In 1946, he became the school̷s dean then director of studies. In 1949, he left the school, distanced himself from photography and set up a design studio, Lerner Design Associates, specialised in consumer items: packages and bottles, toys and ĺassemble-yourself̷ furniture. He also designed a modular house, which he built himself in 48 hours in 1951, and the familiar plastic ̮HoneybearŁ jar, one of American marketing̷s most emblematic objects. In 1968, he married the pianist Kiyoko Asai, who introduced him to Japan, and from 1973, there were several exhibitions of his work in the United States, Berlin and Japan. Nathan Lerner died in 1997. This exhibition was made possible by the generosity of his wife, Kiyoko Lerner, who donated a major collection of his photographs to the Musée d'art et d'histoire du Judaïsme. This event has also been an opportunity to recall that Nathan and Kiyoko Lerner protected and revealed the unique and unclassifiable work of Henry Darger, one of the major figures of American Art Brut.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    Language: French
    Pages: 223 Seiten , Illustrationen
    Edition: Première édition
    Year of publication: 2023
    Keywords: Comiczeichner ; Ausstellung
    Abstract: Le musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente la première rétrospective en France consacrée à Joann Sfar. Avec près de 250 planches et dessins, pour la plupart jamais montrés, mais aussi des carnets, des photographies et des films, l’exposition retrace le parcours d’un artiste exceptionnel dont la créativité se déploie depuis plus de trente ans dans la bande dessinée, le cinéma et la littérature. Né à Nice en 1971, Joann Sfar trouve dans le dessin plus qu’un refuge, une façon de vivre et de voir le monde, une véritable « vie dessinée ». Travailleur acharné, Joann Sfar explore les thèmes du dessin comme « science humaine », de l’enfance, de l’amitié, de la joie ou de la mort, du corps et de la sexualité, tout en poursuivant un commentaire réflexif permanent sur ses propres pratiques au travers de carnets personnels. L’exposition du mahJ évoque la jeunesse de l’artiste à Nice (récemment retracée dans La Synagogue), son arrivée à Paris et sa formation à l’École des Beaux-Arts et la rencontre avec ses complices au sein d’atelier : David B., Christophe Blain, Émile Bravo, Emmanuel Guibert, Mathieu Sapin, Marjane Satrapi, Riad Sattouf, Lewis Trondheim… On y découvre ses maîtres en littérature (Romain Gary, Joseph Kessel, Pierre Dubois…) et les différentes facettes de l’œuvre : le fantastique, la magie et les monstres (Petrus Barbygère, Professeur Bell, Grand Vampire), les drames (Klezmer, Chagall) ou encore la musique (Serge Gainsbourg, Georges Brassens…). L’exposition fait aussi la part belle aux livres à destination des enfants (avec une salle ludique pour les jeunes visiteurs avec Petit Vampire et Le Petit Prince), elle aborde la méthode de création du dessinateur, de même que ses inspirations (outils, papiers, artistes admirés), son regard sur le quotidien (collaborations à Paris Match) et ses travaux en cours. À travers les réalisations les plus emblématiques de Joann Sfar, le parcours met en évidence la cohérence de son œuvre : des innombrables carnets personnels à ceux de Klezmer, des récits pour l’enfance aux planches érotiques sur le peintre Pascin. Avec le Chat du Rabbin en son centre, l’exposition est celle d’un artiste qui a mis une voix juive, culturelle plus que religieuse, au cœur de tous ses récits, puisant dans l’histoire du judaïsme nombre de ses sources d’inspiration et alertant ses lecteurs sur la montée de l’antisémitisme.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    Language: French
    Pages: 52 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2007
    Keywords: Comic ; Ausstellung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
    ISBN: 9782711855438
    Language: French
    Pages: 225 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2008
    Keywords: Kunstraub ; Restitution (Kulturpolitik) ; Ausstellung ; Frankreich
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
    Language: French
    Pages: 215 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2021
    Keywords: Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Est-on juif quand on ignore sa religion et sa culture ? À la fin des années 1970 et au début des années 1990, Patrick Zachmann mène une longue « enquête » sur les juifs de France, à la recherche de sa propre identité. De Paris à Marseille, de la rue des Rosiers aux Buttes-Chaumont, des plus orthodoxes aux plus laïques, de la communauté loubavitch aux grossistes du Sentier, des derniers typographes communistes du quotidien yiddish Naye Presse aux juifs les plus « invisibles », le photographe saisit les différentes facettes de la judaïcité française, alors même que, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, se produisent en France des attentats antisémites. Et, pressentant ce que l’on nommera bientôt l’« ère du témoin », il photographie le premier rassemblement de survivants de la Shoah à Jérusalem en 1981. Membre depuis 1985 de la prestigieuse agence Magnum, il fait de nombreux reportages hors de France. Son activité le mène en Afrique du Sud en 1990 pour la libération de Nelson Mandela, où il assiste à une manifestation de partisans de l’apartheid, avec croix gammées et chemises brunes. Il parcourt le Chili en 1999 à la recherche des traces des camps de prisonniers politiques dans le désert d’Atacama. Du Rwanda en 2000, six ans après le génocide des Tutsis, il rapporte des portraits de survivants et des images d’ossuaires qui évoquent implacablement l’ampleur du crime de masse. La même année, il fait le voyage d’Auschwitz-Birkenau, où furent assassinés ses grands-parents paternels, et en revient avec des images glaçantes. En contrepoint, dans les années 2010, reparti en Pologne et en Ukraine, il prend des photographies inattendues et joyeuses des pèlerinages de juifs orthodoxes sur les tombes des fondateurs du hassidisme. Enfin, retournant aux origines de sa famille maternelle, il arpente l’Oranie et l’Est marocain pour retrouver les vestiges de ce judaïsme d’Afrique du Nord présent durant des temps immémoriaux, et qui constitue aujourd’hui au Maghreb un « monde disparu », à l’instar de celui de sa famille paternelle d’origine polonaise. Première grande exposition personnelle au mahJ d’un photographe vivant, « Voyages de mémoire » présente près de 300 œuvres de Patrick Zachmann, des années 1970 aux années 2015, dont de très nombreux inédits et un film, La Mémoire de mon père. Elles nous révèlent un regard humaniste posé sur le monde, nourri par l’expérience juive et donc habité par les questions universelles de l’exil, de la disparition et de l’oubli.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 10
    Book
    Book
    Editions Gallimard
    Language: French
    Pages: 187 Seiten, [2] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2023
    Keywords: Dac, Pierre ; Chansonnier ; Schauspieler ; Schriftsteller ; Ausstellung
    Abstract: Le mahJ présente la première exposition consacrée à Pierre Dac (1893-1975). Plus de 250 documents issus des archives familiales, extraits de films, émissions télévisées et radiophoniques éclairent le parcours personnel et l’œuvre de ce maître de l’absurde, qui présida à la naissance de l’humour contemporain. Qui sait que, dans les années 1950, Pierre Dac fut l’inventeur du schmilblick, cet objet au nom yiddish « qui ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout » ? Qui se souvient du biglotron ? Qui a en mémoire la désopilante série radiophonique Bons baisers de partout, diffusée sur France Inter de 1966 à 1974 ? Des années 1930 au milieu des années 1970, l’imagination et l’inventivité de Pierre Dac ont nourri la culture française d’un extraordinaire arsenal humoristique que l’exposition fera redécouvrir. Né André Isaac à Châlons-sur-Marne, Pierre Dac est issu d’une famille juive alsacienne qui choisit la France après Sedan. Il s’engage durant la Première Guerre mondiale, animé du désir de rendre l’Alsace-Lorraine à la France. Après l’armistice, il se tourne vers le métier de chansonnier ; ses sketchs, chansons, et surtout ses « pensées », lui valent un succès immédiat. Dans les années 1930, il produit les premières émissions d’humour à la radio (La société des loufoques, La course au trésor...), puis fonde l’hebdomadaire L’Os à moelle. Résistant de la première heure, il rejoint la France libre en 1943. Dans les Français parlent aux Français, au micro de Radio Londres, il mène une guerre des mots contre Radio Paris. Au lendemain de la guerre, Pierre Dac rencontre Francis Blanche, avec lequel il crée « Sans issue ! » aux Trois Baudets, puis le célèbre « Sâr Rabindranath Duval » et le feuilleton Signé Furax, la série la plus écoutée de l’histoire de la radio, tout en militant à la Lica, ancêtre de la Licra. L’exposition éclaire la créativité musicale et littéraire de Pierre Dac, ses modes d’expression très divers – et notamment l’utilisation de tous les nouveaux médias (cinéma, radio et télévision), tout en restant attaché au cabaret et au théâtre. Elle évoque ses compagnons de route : Francis Blanche, Jean Yanne et René Goscinny. Enfin, elle replace l’œuvre de Pierre Dac parmi celles des maîtres de l’absurde (Beckett, Ionesco, Dubillard…), redevable tant à l’argot des bouchers qu’au Witz freudien, et aborde les résonances de sa judaïté dans son parcours personnel et ses choix artistiques. Initialement proposée d'octobre 2020 à février 2021, cette exposition avait dû fermer ses portes quinze jours après son inauguration en raison de la pandémie de Covid 19. Commissaires : Anne Hélène Hoog et Jacques Pessis
    Note: Exposition présentée au musée d'art et d'Histoire du Judaïsme, Paris, du 15 octobre 2020 au 28 février 2021
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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