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Last 7 Days Catalog Additions

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  • 1
    Language: French
    Pages: 101 Seiten, [1] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2016
    Keywords: Installation ; Ausstellung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Language: French
    Pages: 207 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2016
    Keywords: Künstler ; Malerei ; Ausstellung
    Abstract: Arnold Schönberg (1874-1951) est l’un des compositeurs majeurs du xxe siècle, mais il fut aussi théoricien, enseignant, poète et peintre. En effet, à partir de 1908 et pendant une dizaine d’années, il s’est adonné à la peinture, en parallèle de son activité musicale. Portraits et autoportraits, paysages imaginaires à la limite de l’abstraction et études de décors d’opéra constituent un œuvre hors norme, miroir de ses états d’âme qui ne trouvaient pas de forme musicale. La redécouverte de Schönberg à l’aune de sa production picturale est ainsi l’occasion de se replonger dans les cercles artistiques viennois du tournant du xxe siècle avec Richard Gerstl, Oskar Kokoschka, Max Oppenheimer ou Egon Schiele, mais aussi de pénétrer les coulisses de son amitié avec Vassily Kandinsky, pour lequel la musique de Schönberg joua un rôle fondamental. La relation de Schönberg à son identité juive est également abordée par nombre d’œuvres, écrits et compositions qui témoignent d’un engagement méconnu, tant musical que politique. Arnold Schönberg. Peindre l’âme pose un regard renouvelé sur l’artiste, en suivant sa trajectoire à travers des questions inédites en France, à la croisée des champs artistiques et des préoccupations culturelles et religieuses qui ont irrigué son œuvre. Les auteurs Sous la direction de Jean-Louis Andral, directeur du musée Picasso, Antibes, et Fanny Schulmann, conservatrice chargée de l’art moderne et contemporain, musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris Textes de : Jean-Louis Andral, directeur du musée Picasso, Antibes Esteban Buch, directeur d'études à l’École des hautes études en sciences sociales, Paris, directeur du centre de recherches sur les Arts et le Langage Steven J. Cahn, professeur de théorie musicale, conservatoire de l’université de Cincinnati Romeo Castellucci, metteur en scène Angela Lampe, conservatrice des collections modernes, musée national d’Art moderne, Centre Pompidou, Paris Jean-Claude Marcadé, directeur de recherche émérite au CNRS Therese Muxeneder, responsable des collections au Arnold Schönberg Center, Vienne Fanny Schulmann, conservatrice chargée de l’art moderne et contemporain, musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris Patrick Werkner, professeur d’histoire de l’art et directeur des collections, Universität für angewandte Kunst, Vienne.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    Book
    Book
    Paris : Skira Flammarion
    ISBN: 9782081370333
    Language: French
    Pages: 198 Seiten , zahlr. Ill.
    Year of publication: 2015
    Keywords: Mose ; Kunst ; Ausstellung
    Abstract: À travers 150 peintures, dessins, gravures, objets d’art, manuscrits, livres et extraits de films, cette exposition rend compte de l’importance et de la diversité des représentations de Moïse dans la culture occidentale, de l’Antiquité à nos jours. Elle souligne les enjeux philosophiques, religieux, politiques et artistiques de l’iconographie mosaïque, notamment les usages de la figure du prophète comme archétype du libérateur aux XIXe et XXe siècles. Dès l’Antiquité, malgré l’interdiction de représentation dont il fut le messager (deuxième commandement), Moïse est le prophète le plus fréquemment figuré dans l’iconographie biblique. Au IIIe siècle déjà, au cœur du monde juif, dans la synagogue de Doura Europos (dans la Syrie actuelle), on trouve d’importantes fresques relatant des scènes de la vie de Moïse. Des manuscrits médiévaux richement enluminés aux peintures de Nicolas Poussin, sources juives et chrétiennes dialoguent tout au long des temps modernes. La traduction et l’édition des textes antiques par les chrétiens assurent à l’histoire de Moïse un rayonnement sans précédent dès le XVIe siècle. Avec les débuts de l’édition hébraïque à Venise et à Prague, les juifs utilisent à leur tour ces images chrétiennes pour élaborer leur propre iconographie. S’appuyant sur la diversité de ces sources, l’exposition dresse un portrait de Moïse qui explore sa singularité et retrace les épisodes marquants de l’Exode. Dans l’Europe des temps modernes, la représentation de Moïse cristallise de nombreux enjeux politiques, religieux et philosophiques, dont les artistes sont les vecteurs. Moïse est avant tout présenté comme la préfiguration la plus aboutie du Christ, ses miracles annonçant les sacrements de l’Église. Alors que les princes catholiques légitiment leur autorité temporelle en s’identifiant à l’image du Moïse législateur, les protestants se projettent sur l’histoire du peuple élu, persécuté par Pharaon, et exaltent le prophète libérateur, pour développer une rhétorique de résistance. Au tournant du XXe siècle, de la Palestine aux États-Unis, Moïse devient l’incarnation symbolique des désirs d’émancipation qui agitent les communautés juives et les Noirs américains. Les écrits de Theodor Herzl, « Moïse moderne », icône du libérateur visionnaire et source d’inspiration pour les nouveaux artistes juifs, sont lus avec intérêt par les intellectuels noirs américains. Leurs tentatives d’émancipation sont elles-mêmes encouragées par les journaux sionistes new-yorkais. Ébauchés avec le combat abolitionniste, les échanges entre juifs et Noirs culminent dans la lutte pour les droits civiques à partir des années 1950. Martin Luther King, qui multiplie les références à Moïse et au destin des juifs, entretient un dialogue fécond avec le rabbin Abraham Heschel. Moïse est le prophète qui a vu Dieu et dialogué avec Lui, qui a fait l’expérience de l’ineffable, puis est redescendu en témoigner auprès des hommes. Les artistes en ont ainsi fait une figure tutélaire, celle du visionnaire, du prophète et de l’intercesseur qui guide, ouvre de nouvelles voies, cherche de nouvelles lois. L’exposition s’achève sur l’identification intime et stimulante des artistes au fondateur du judaïsme, à partir notamment du célèbre Moïse de Michel-Ange, sculpté pour le tombeau du pape Jules II à Rome et magnifiquement filmé par Michelangelo Antonioni en 2004.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Book
    Book
    Paris : Editions Gallimard
    Language: French
    Pages: 336 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2018
    Keywords: Freud, Sigmund ; Psychoanalyse ; Ausstellung
    Abstract: Cette exposition, proposée à l’occasion des vingt ans du mahJ, est la première présentée en France sur Sigmund Freud (1856-1939). Par un ensemble de 200 pièces – peintures, dessins, gravures, ouvrages, objets et dispositifs scientifiques –, dont des œuvres majeures de Gustave Courbet (L’Origine du monde), Oskar Kokoschka, Mark Rothko ou Egon Schiele, elle jette un regard nouveau sur le cheminement intellectuel et scientifique de l’inventeur de la psychanalyse. En France, l’enseignement de Freud est d’abord diffusé par les cercles littéraires, surréalistes en particulier, dans le sillage du symbolisme de la fin du XIXe siècle. Or cette réduction à la littérature ignore la rationalité dont se réclame la doctrine freudienne. Le parcours de l’exposition insiste donc sur les années viennoises puis parisiennes de Freud, héritier de Darwin, qui débute sa carrière en tant que neurologue, et dont l’intérêt pour la biologie ne va cesser de croître – Une leçon clinique à la Salpétrière d'André Brouillet (1857-1914) et le baquet à magnétiser de Franz Anton Mesmer (1734-1815), présents dans l'exposition, sont prêtés tous deux pour la première fois. Ses premières recherches s’enracinent dans la tentative de tracer des schémas et des esquisses souvent semblables à ceux que les neurosciences s’efforcent alors de dessiner pour expliquer la croissance et le développement des neurones et le fonctionnement du cerveau. L'exposition fait redécouvrir l’invention de la psychanalyse. Si cette démarche est née de l’observation éminemment visuelle des symptômes, photographiés, dessinés, mis en scène autour de Jean-Martin Charcot (1825-1893) à la Salpêtrière, elle trouve sa spécificité et son efficacité à refuser l’image. Elle s’épanouit dans la seule écoute, dans les associations de mots, en l’absence de toute représentation visuelle. Le lisible contre le visible, le mot contre l'image : Freud se pose ici en héritier de Moïse, grand briseur d’images. La spiritualité juive, à défaut d’une foi et d’une pratique, irrigue ses travaux, de L’interprétation des rêves – ouvrage dont l’herméneutique talmudique n’est pas absente –, jusqu’à l’essai final, Moïse et le monothéisme. Si Freud lui-même, né dans une famille juive originaire de Galicie gagnée par les idées de la Haskalah (les Lumières juives), affirme son athéisme et tient sa production scientifique à l’écart de son ascendance juive, tout comme du milieu viennois où il a vécu, c’est d’abord pour faire de la psychanalyse une science universelle, détachée de tout particularisme religieux ou culturel. Mais la démarche psychanalytique n’est pas étrangère à la tradition interprétative propre au judaïsme. L'exposition bénéficie de prêts exceptionnels du musée Freud de Londres, du musée d’Orsay et du musée national d’Art moderne, ainsi que de grands musées autrichiens et allemands (Leopold Museum, Österreichische Galerie Belvedere, Vienne ; Museum der Bildenden Künste, Leipzig…).
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    Language: French
    Pages: 179 Seiten, [2] Blatt , Ill.
    Year of publication: 2017
    Keywords: Golem ; Ausstellung
    Abstract: Être artificiel animé à l’aide de rituels magiques, le Golem est l’une des légendes juives les plus célèbres et une figure majeure de la littérature fantastique. Celui que l’on a coutume de représenter sous les traits d’un géant aux pouvoirs surhumains, protecteur et destructeur à la fois, n’a cessé de fasciner et d’endosser de multiples significations au fil du temps. Le Golem est à l’origine de nombreuses créatures artificielles, imaginaires ou réelles. Préfiguration du robot, de l’ordinateur et plus généralement d’un monde envahi par un machinisme croissant, le Golem est aussi le précurseur des superhéros, des androïdes et des avatars numériques. Rarement un mythe aura été aussi fécond pour penser tant le pouvoir créateur de l’homme que sa démesure. D’un Sefer Yetsirah (Livre de la création) de 1562 à Terminator II de James Cameron (1991), cet ouvrage explore les différentes dimensions du mythe, ses résonances actuelles et sa vaste fortune, à travers une sélection originale d’œuvres d’écrivains, plasticiens, auteurs de bandes dessinées, cinéastes, roboticiens ou créateurs de jeux vidéo. Golem. Avatars d’une légende d’argile démontre comment cette légende, retravaillée par les artistes, reste plus que jamais d’actualité. Les auteurs Ouvrage sous la direction de Ada Ackerman, historienne de l’art, chargée de recherches au CNRS, unité mixte de recherche Thalim (Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité) Textes de : Elizabeth R. Baer, chercheuse émérite invitée au département des Études sur l’Holocauste, Stockton University, New Jersey Emily D. Bilski, commissaire d’exposition indépendante, historienne de l’art moderne et contemporain, spécialiste de la vie culturelle juive Paul Dumouchel, professeur à l’École doctorale d’éthique et des sciences nouvelles, université Ritsumeikan, Kyoto Michel Faucheux, maître de conférences, ancien directeur du Centre des Humanités, Institut national des sciences appliquées, Lyon Dorothée Morel, docteur ès lettres, université Paris-Sorbonne – Paris 4 Marc-Alain Ouaknin, philosophe, professeur des universités, université de Bar-Ilan, Ramat Gan, producteur de l'émission « Talmudiques » sur France Culture Michaela Sidenberg, conservatrice, département des Arts visuels, Židovské muzeum, Prague
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
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