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  • French  (44)
  • Musée d'art et d'histoire du Judaïsme  (44)
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  • 1
    Journal/Serial
    Journal/Serial
    Paris ; 2003/04 -
    Language: French
    Year of publication: 2003
    Dates of Publication: 2003/04 -
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    ISBN: 285056429X
    Language: French
    Pages: 143 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2000
    Keywords: Künstlerin ; Kunsterzieherin ; Ausstellung
    Abstract: Cette artiste, née en 1898 à Vienne, formée au Bauhaus de Weimar, sous l'égide de Johannes Itten et de Paul Klee, a toujours mené de pair son oeuvre et une activité de pédagogue. Dans le cadre de l'atelier qu'elle crée à Berlin, en 1923, avec Franz Singer, elle conçoit des textiles, des bijoux, des livres reliés ; en 1926, elle devient une architecte en vue et réalise, à Prague, à Vienne et à Berlin, des bâtiments privés et des projets sociaux, dont un jardin d'enfants Montessori. En 1934, arrêtée pour activités communistes, elle émigre à Prague, où, rompant avec la tradition du Bauhaus, elle se tourne vers la peinture, exécutant portraits, paysages, natures mortes. En 1942, Friedl et son mari, Pavel Brandeis, sont déportés à Terezín. Elle se voue totalement et sans relâche à l'enseignement du dessin et de la peinture aux enfants. Transférée à Auschwitz le 6 octobre 1944, elle est assassinée le 9 à Birkenau. L'exposition, organisée par le Simon Wiesenthal Center/Museum of Tolerance de Los Angeles, est la première à présenter de façon exhaustive l'oeuvre de Friedl Dicker-Brandeis, connue jusqu'alors pour ses travaux au sein du Bauhaus ou qu'elle réalisa avec les enfants de TerezÌn. La manifestation rassemble des peintures, des pastels, des dessins, des gravures, des textiles, des études pour des costumes ou des décors de théâtre, des livres reliés, des projets de meubles ou d'aménagement intérieur, ainsi que les dessins des élèves de Friedl Dicker-Brandeis, en provenance du Getty Institute, du Musée juif de Prague, de l'École des arts appliqués et du musée d'Art moderne de Vienne ou des archives du Bauhaus de Berlin.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    ISBN: 9782081225398
    Language: French
    Pages: 280 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2009
    Keywords: Buch ; Buchkunst ; Verlag ; Jiddisch ; Ausstellung
    Abstract: « Nous qui venions tout juste de prendre en main le crayon et le pinceau, nous nous sommes aussitôt mis à “anatomiser”, non seulement la nature autour de nous, mais aussi nous-mêmes. Qui étions-nous ? Quelle place tenions-nous dans le concert des nations ? Quelle était notre culture ? Et quel devait être notre art ? Tout cela s’est joué dans quelques bourgades de Lituanie, de Biélorussie, d’Ukraine... » El Lissitzky, 1923 Dans ce texte intitulé "Mémoires de la synagogue de Mogilev, Lissitzky revient sur cette période très brève, mais intense et fondatrice, au cours de laquelle de jeunes artistes juifs – toute une génération – se lancèrent avec ardeur dans une entreprise où soufflait l’esprit de la révolution : élaborer une expression artistique spécifiquement juive, qui puisse concilier la tradition à laquelle ils retournaient avec la modernité dans laquelle ils s’engageaient. Des expéditions ethnographiques sillonnaient alors les bourgades juives d’Ukraine et effectuaient des collectes d’objets, des relevés de peintures de synagogues et de pierres tombales, qui révélèrent aux artistes la richesse insoupçonnée de leur patrimoine. De cette révélation, en Russie et en Pologne, naît une avant-garde artistique intimement liée à une littérature et un théâtre yiddish en plein essor. « Nous avons tout à coup découvert la magie de la yiddishkeit, nous avons été entraînés par le grand mouvement d’émancipation spirituelle, par la résurrection de notre conscience nationale, par le combat des masses ouvrières juives pour la justice sociale. Nous, artistes juifs semi-assimilés, sommes retournés vers le peuple. C’était, pour ainsi dire, une contre-émancipation... » Henryk Berlewi, 1955
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Journal/Serial
    Journal/Serial
    Paris
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    ISBN: 978275570249
    Language: French
    Pages: 366 Seiten , zahlr. Ill.
    Year of publication: 2007
    Keywords: Amsterdam ; Sephardim ; Marranen
    Abstract: L̷exposition, qui réunit près de 190 pièces (peintures, dessins, estampes, objets d̷art, manuscrits et documents rares), confronte un ensemble significatif d̷oeuvres du maître et de ses contemporains, à un événement culturel et religieux d̷une portée considérable : l̷installation à Amsterdam, au XVIIe siècle, dans un climat unique de tolérance, des communautés juives réfugiées de la péninsule Ibérique et d̷Europe centrale. Les Pays-Bas témoignent alors d̷un puissant phénomène d̷ ̮identification hébraïqueŁ, conduisant ses habitants à se penser comme les nouveaux Israélites. Le monde juif et le monde chrétien réformé se rencontrent à Amsterdam, ̮Nouvelle JérusalemŁ, tissant d̷innombrables liens religieux et culturels. Fondatrice pour la société juive moderne, cette communauté de ̮nouveaux-chrétiensŁ convertis par force au Portugal, mais restés secrètement fidèles au judaïsme, et devenus des ̮nouveaux-juifsŁ à Amsterdam, innove dans de nombreux domaines : organisation communautaire, représentation de soi par l̷image et l̷archive, acculturation, inscription dans la cité. L̷exposition est délimitée chronologiquement par la vie de Rembrandt (1606-1669), qui recouvre, peu ou prou, la période qui s̷étend de l̷établissement des juifs aux Pays-Bas, à partir de l̷extrême fin du XVIe siècle, jusqu'à l'inauguration de la grande synagogue d̷Amsterdam (1675). Un large prologue est consacré à l̷évocation du milieu social, intellectuel et artistique juif à Amsterdam, afin de mettre en valeur le dynamisme d̷une communauté portée par le formidable essor économique de la cité et par le régime de libertés, grâce auxquels elle a pu se développer.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    Language: French
    Pages: 52 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2007
    Keywords: Comic ; Ausstellung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    Language: French
    Pages: 32 Seiten , zahlr. Ill.
    Year of publication: 2012
    Keywords: Algerien
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  • 8
    Language: French
    Pages: 95 Seiten , Fotografien
    Year of publication: 2008
    Keywords: Israel ; Fotografie ; Ausstellung
    Abstract: Que dit l'uvre d'un artiste utilisant la photographie sur un pays où l'image est, plus qu'ailleurs, un enjeu politique ? Barry Frydlender, comme tétanisé par l̷usage qui fut fait de ce médium pendant la première Intifada (1987-1993), préféra d'abord y renoncer. Puis la découverte de ce que le travail numérique pouvait apporter à l'image, dans son décalage avec la réalité, lui permit de renouer avec la photographie en 1994. Dans une volte-face au travail de photojournalisme et au culte du bon cliché au bon moment, dû à un oeil providentiel, "the right man at the right place at the right time", Frydlender introduit patience et modestie dans la photographie. Dans ce qui est une question d'espace, il invite le temps. Il n'est pas le seul, bien sûr. Mais, dans "le bruit et la fureur" qui caractérisent la présentation d'Israël que nous livrent journaux et télévisions, la mise en image de la durée et du temps qui s'écoule confère une réelle étrangeté à ses oeuvres. Les formats panoramiques de Barry Frydlender sont trompeurs ; on pourrait y voir une fresque sociale d'Israël : des Juifs et des Arabes, des jeunes et des moins jeunes, des babas cool et des hassidim, des travailleurs immigrés et une jeunesse qui rêve d'indolence. Ses photographies, de groupe ou de foule, le plus souvent prises en extérieur, nous emmènent vers un objet inattendu. Tentons-nous d'embrasser l'ensemble, que notre regard, happé par telle physionomie, telle inscription, un objet perdu, un geste éloquent, commence à scruter, éplucher, parcourir lentement, examiner, comparer. Que se passet-il? Frydlender nous conduit vers le moment d'après, nous esquisse le paysage-autour : il contre l'instantané pour dérouler temps et espace, en abolir les limites. Le travail numérique, le collage, sur les dizaines, parfois les centaines de clichés qui composent le panorama, rusent avec l'immédiat : le soleil ne cesse de se coucher, les gens d'avancer, intérieurs et extérieurs subissent des extensions improbables qui nous donnent à voir plus que la réalité (Pitzutsiah). À la séduction indéniable de ses fresques aux couleurs attrayantes, qui semblent décrire une sorte de vie enjouée, Frydlender ajoute subrepticement sens multiples, ironie et inquiétude. Comme si le texte qui sous-tendait toutes ses photographies était un "où allons-nous ?" Une tension qu'il s'agit de dé-jouer se cache dans les moments saisis : le jeu des enfants, à la frontière invisible entre quartier juif et quartier arabe (Jaffa/Bat Yam), une réunion bucolique des Juifs ultra-orthodoxes hors contexte, hors de leur cadre naturel (Bénédiction), les jeunes dans la joie d'une sortie scolaire au musée de l'Armée, surpris par des torrents d'eau (Déluge). C'est dans un étirement de l̷espace, mais aussi dans la sédimentation photographique, que l'artiste insère cette réflexion sur le temps qui passe. Il crée une attente : il n'y a pas d'instant, le présent n'existe pas, si ce n'est dans un continuum, gros d'espoirs, gros aussi de menaces. Sédimentation de la mémoire photographique, extension de l'espace, absorption de la durée, les images de Barry Frydlender ne s'arrêtent pas là ; l'artiste est également un virtuose des signes jouant sur les rapprochements formels, sur les parallèles et les relectures du texte biblique dans un présent très profane. Ses photographies se jouent des mots, des noms, lancent des signaux qu'il nous invite à déchiffrer.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
  • 10
    Language: French
    Pages: 119 Seiten , Illustrationen
    Additional Material: 2 carnets
    Year of publication: 2013
    Keywords: Kunst ; Ausstellung
    Abstract: Peuplée de juges, de gardiens de camps, de clowns, d̷inquisiteurs, de bourreaux, d'imbéciles - une humanité avilie ou terrorisée -, l'uvre de Maryan (Pinchas Burstein, 1927 - 1977) est puissante, tragique, grinçante, inclassable. Né en Pologne, à Nowy Sacz, en 192, Maryan passe son adolescence dans des ghettos, des camps de travail, des camps de concentration. Seul survivant de sa famille, il part en 1947 pour la Palestine et entre à l'école d'art Bezalel à Jérusalem, où il expose pour la première fois en 1949. L'année suivante, il se rend à Paris, étudie à l'École nationale supérieure des beaux-arts, dans l'atelier de Fernand Léger, et suit des cours de lithographie. Dès 1952, il expose à la galerie Breteau, puis, à partir de 1956, à la galerie de France, tout en participant à de nombreux salons et expositions collectives. En 1962, lassé du monde de l'art parisien, il s'installe à New York et devient citoyen américain. Il décède subitement, au Chelsea Hotel, en 1977. Dans les années 1950, sa peinture oscille entre une figuration cubisante, graphique et narquoise et une abstraction dans laquelle on devine des corps, des visages, des formes animales. À partir de 1960, ses personnages enfermés dans des boîtes cèdent la place à un carnaval de créatures, mi-hommes mi-animaux, incarnant pouvoir, autosatisfaction, dégoût, idiotie. Si sa peinture trouve à New York un environnement artistique où se déployer, cette liberté coïncide avec une fragilité grandissante, physique et mentale, de l'artiste. En 1971, sur les conseils de son psychanalyste, Maryan a recours au dessin pour expurger les visions qui l'obsèdent. Une année durant, il remplit à l'encre de Chine neuf carnets. Cet ensemble, sans équivalent, qu'il intitule Ecce homo sera présenté pour la première fois. Ils constituent le cur et la trame de l'exposition. Avec un humour désespéré et ravageur, il y revient sur son enfance, sur sa traversée de la guerre, qu'il accompagne de commentaires lapidaires dans un anglais mâtiné de français, de yiddish et de polonais. L'exposition n'est pas une rétrospective. Hormis un tableau clé de 1952, elle reprend les temps forts de l'uvre peint et dessiné de 1960 à 1977. Elle comprend, outre les carnets de 1971 - donnés par la veuve de l'artiste au musée national d'Art moderne, Centre Pompidou en 2012 -, vingt peintures et une quarantaine de dessins regroupés par séries. Des extraits du film Ecce homo, tourné au Chelsea Hotel en 1975, seront montrés dans le parcours. Ce projet, qui s'inscrit dans la lignée des découvertes ou redécouvertes proposées par le Mahj - celles des uvres de Bruno Schulz, de Salomon, de Felix Nussbaum -, a bénéficié de la participation du Centre Pompidou et du Spertus Institute de Chicago, ainsi que de prêts provenant du Fonds national d̷art contemporain, de galeries et de collections particulières, tant en France qu'en Europe.
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