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  • 1
    ISBN: 9782711878802
    Language: French
    Pages: 240 Seiten , 27 cm
    Year of publication: 2022
    Keywords: Blumenfeld, Erwin ; Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Les tribulations d'un juif berlinois au XXe siècle Entre son installation à Paris en 1936, et les débuts de sa carrière américaine, après 1941, Erwin Blumenfeld (Berlin, 1897 — Rome, 1969) voit son destin, tant artistique que personnel, bouleversé. Sa plongée dans l’effervescence de la capitale et l’univers de la mode est brutalement interrompue par la défaite de 1940. Il connaît l’errance, l’internement comme « étranger indésirable » dans plusieurs camps français avant d’obtenir un visa pour les États-Unis. Embarqué sur le Mont Viso, il doit encore subir l’enfermement avec sa famille dans un camp français au Maroc. Blumenfeld traverse cette tourmente comme nombre d’artistes juifs, mais peut se réfugier in extremis aux États-Unis, où il renoue immédiatement avec l’industrie de la mode. La révélation de son talent de photographe La période des années 1930 aux années 1950 à laquelle l'exposition est consacrée est aussi celle de la révélation de son talent photographique, le moment d’une expérimentation artistique originale et foisonnante, poursuivie avec la même ferveur de Paris à New York. Après des débuts dadaïstes, marqués par des photomontages politiques prémonitoires sur la Seconde Guerre mondiale, Blumenfeld construit une œuvre loin des troubles du temps. Elle s’inspire et prolonge des techniques adoptées notamment par les tenants de la « Nouvelle vision », tant lors de la prise de vue qu’en laboratoire : solarisation, réticulation, surimpression, miroirs et jeux optiques, jeux d’ombres et de lumières forment pour lui une grammaire au service d’une image où la beauté et le nu féminin occupent une place centrale. Il mettra en particulier son génie au service de la photographie de mode, et sera précurseur dès les années 1940 dans le domaine de la couleur, propice à de nouvelles expérimentations. L’exposition du mahJ L’exposition suit le cheminement de l’artiste dans des séries, dont sont issues ses photographies les plus célèbres et les plus expérimentales, et les liens qu’il a pu tisser dans ses images avec les maîtres de la peinture ancienne et de l’art moderne. À New York, les magazines Harper’s Bazaar et Vogue, en particulier, seront les supports influents de son talent, déployé dans une libre exploration de formes et de couleurs, toujours sur le portrait et le nu féminin. Le parcours présente également deux reportages inédits, sur une famille gitane aux Saintes-Maries-de-la-Mer, et sur les danses des Amérindiens de Taos au Nouveau Mexique. Faisant le lien entre sa participation au mouvement Dada et son insertion dans l’avant-garde parisienne, la série du « Dictateur » et des têtes de veau trouvera sa place avant les portraits, les travaux sur la sculpture de Maillol, et les expérimentations autour du corps féminin faisant de lui un photographe recherché.
    Note: Gegenüber der Titelseite: Cet ouvrage est publié à l'occasion de l'exposition "Les tribulations d'Erwin Blumenfeld, 1930-1950", présentée au musée d'art et d'histoire du Judaïsme à Paris, du 13 octobre 2022 au 5 mars 2023." (Seite [2])
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  • 2
    Language: German
    Pages: 208 Seiten , 120 Illustrationen , 24 cm x 17 cm
    Edition: 1. Auflage
    Year of publication: 2022
    Keywords: Wagner, Richard ; Komponist ; Antisemitismus ; Ausstellung
    Abstract: Richard Wagner hat das 19. Jahrhundert in ganz unterschiedlichen Positionen miterlebt und geprägt – als wirkmächtiger Komponist und Autor, aber auch als Revolutionär und Exilant, als Theaterreformer und Festspielgründer. Er war nicht nur Zeuge politischer Umbrüche und Strömungen, sondern hat gesellschaftliche und emotionale Befindlichkeiten seiner Zeit registriert, aufgegriffen und (um-)gestaltet. Dabei zeigt sich Wagner als Gefühlstechniker, der in einer zunehmend kommerzialisierten Welt den gesellschaftlichen Stellenwert der Kunst – und des Künstlers – neu verortete. Seine Vorstellungen vom Musikdrama als Gesamtkunstwerk waren immer auch eine Kritik an der Moderne. Wagner war Antisemit. Wieweit seine Inszenierung von Gefühlen, seine Vorstellungen von Musik und Kunst, seine Fantasie über Unterdrückung und Erlösung sowie seine Kritik an der Moderne von diesem Antisemitismus geprägt waren oder den Antisemitismus mit ausmachten, ist bis heute umstritten. Der Begleitband zur gleichnamigen Ausstellung befasst sich mit Wagners Inszenierungen konkreter Gefühle und stellt die Geschichte ihrer Konzeption in den Kontext des 19. Jahrhunderts.
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  • 3
    Book
    Book
    Editions Gallimard
    Language: French
    Pages: 187 Seiten, [2] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2023
    Keywords: Dac, Pierre ; Chansonnier ; Schauspieler ; Schriftsteller ; Ausstellung
    Abstract: Le mahJ présente la première exposition consacrée à Pierre Dac (1893-1975). Plus de 250 documents issus des archives familiales, extraits de films, émissions télévisées et radiophoniques éclairent le parcours personnel et l’œuvre de ce maître de l’absurde, qui présida à la naissance de l’humour contemporain. Qui sait que, dans les années 1950, Pierre Dac fut l’inventeur du schmilblick, cet objet au nom yiddish « qui ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout » ? Qui se souvient du biglotron ? Qui a en mémoire la désopilante série radiophonique Bons baisers de partout, diffusée sur France Inter de 1966 à 1974 ? Des années 1930 au milieu des années 1970, l’imagination et l’inventivité de Pierre Dac ont nourri la culture française d’un extraordinaire arsenal humoristique que l’exposition fera redécouvrir. Né André Isaac à Châlons-sur-Marne, Pierre Dac est issu d’une famille juive alsacienne qui choisit la France après Sedan. Il s’engage durant la Première Guerre mondiale, animé du désir de rendre l’Alsace-Lorraine à la France. Après l’armistice, il se tourne vers le métier de chansonnier ; ses sketchs, chansons, et surtout ses « pensées », lui valent un succès immédiat. Dans les années 1930, il produit les premières émissions d’humour à la radio (La société des loufoques, La course au trésor...), puis fonde l’hebdomadaire L’Os à moelle. Résistant de la première heure, il rejoint la France libre en 1943. Dans les Français parlent aux Français, au micro de Radio Londres, il mène une guerre des mots contre Radio Paris. Au lendemain de la guerre, Pierre Dac rencontre Francis Blanche, avec lequel il crée « Sans issue ! » aux Trois Baudets, puis le célèbre « Sâr Rabindranath Duval » et le feuilleton Signé Furax, la série la plus écoutée de l’histoire de la radio, tout en militant à la Lica, ancêtre de la Licra. L’exposition éclaire la créativité musicale et littéraire de Pierre Dac, ses modes d’expression très divers – et notamment l’utilisation de tous les nouveaux médias (cinéma, radio et télévision), tout en restant attaché au cabaret et au théâtre. Elle évoque ses compagnons de route : Francis Blanche, Jean Yanne et René Goscinny. Enfin, elle replace l’œuvre de Pierre Dac parmi celles des maîtres de l’absurde (Beckett, Ionesco, Dubillard…), redevable tant à l’argot des bouchers qu’au Witz freudien, et aborde les résonances de sa judaïté dans son parcours personnel et ses choix artistiques. Initialement proposée d'octobre 2020 à février 2021, cette exposition avait dû fermer ses portes quinze jours après son inauguration en raison de la pandémie de Covid 19. Commissaires : Anne Hélène Hoog et Jacques Pessis
    Note: Exposition présentée au musée d'art et d'Histoire du Judaïsme, Paris, du 15 octobre 2020 au 28 février 2021
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  • 4
    Language: French
    Pages: 223 Seiten , Illustrationen
    Edition: Première édition
    Year of publication: 2023
    Keywords: Comiczeichner ; Ausstellung
    Abstract: Le musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente la première rétrospective en France consacrée à Joann Sfar. Avec près de 250 planches et dessins, pour la plupart jamais montrés, mais aussi des carnets, des photographies et des films, l’exposition retrace le parcours d’un artiste exceptionnel dont la créativité se déploie depuis plus de trente ans dans la bande dessinée, le cinéma et la littérature. Né à Nice en 1971, Joann Sfar trouve dans le dessin plus qu’un refuge, une façon de vivre et de voir le monde, une véritable « vie dessinée ». Travailleur acharné, Joann Sfar explore les thèmes du dessin comme « science humaine », de l’enfance, de l’amitié, de la joie ou de la mort, du corps et de la sexualité, tout en poursuivant un commentaire réflexif permanent sur ses propres pratiques au travers de carnets personnels. L’exposition du mahJ évoque la jeunesse de l’artiste à Nice (récemment retracée dans La Synagogue), son arrivée à Paris et sa formation à l’École des Beaux-Arts et la rencontre avec ses complices au sein d’atelier : David B., Christophe Blain, Émile Bravo, Emmanuel Guibert, Mathieu Sapin, Marjane Satrapi, Riad Sattouf, Lewis Trondheim… On y découvre ses maîtres en littérature (Romain Gary, Joseph Kessel, Pierre Dubois…) et les différentes facettes de l’œuvre : le fantastique, la magie et les monstres (Petrus Barbygère, Professeur Bell, Grand Vampire), les drames (Klezmer, Chagall) ou encore la musique (Serge Gainsbourg, Georges Brassens…). L’exposition fait aussi la part belle aux livres à destination des enfants (avec une salle ludique pour les jeunes visiteurs avec Petit Vampire et Le Petit Prince), elle aborde la méthode de création du dessinateur, de même que ses inspirations (outils, papiers, artistes admirés), son regard sur le quotidien (collaborations à Paris Match) et ses travaux en cours. À travers les réalisations les plus emblématiques de Joann Sfar, le parcours met en évidence la cohérence de son œuvre : des innombrables carnets personnels à ceux de Klezmer, des récits pour l’enfance aux planches érotiques sur le peintre Pascin. Avec le Chat du Rabbin en son centre, l’exposition est celle d’un artiste qui a mis une voix juive, culturelle plus que religieuse, au cœur de tous ses récits, puisant dans l’histoire du judaïsme nombre de ses sources d’inspiration et alertant ses lecteurs sur la montée de l’antisémitisme.
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  • 5
    Language: French
    Pages: 215 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2021
    Keywords: Fotograf ; Ausstellung
    Abstract: Est-on juif quand on ignore sa religion et sa culture ? À la fin des années 1970 et au début des années 1990, Patrick Zachmann mène une longue « enquête » sur les juifs de France, à la recherche de sa propre identité. De Paris à Marseille, de la rue des Rosiers aux Buttes-Chaumont, des plus orthodoxes aux plus laïques, de la communauté loubavitch aux grossistes du Sentier, des derniers typographes communistes du quotidien yiddish Naye Presse aux juifs les plus « invisibles », le photographe saisit les différentes facettes de la judaïcité française, alors même que, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, se produisent en France des attentats antisémites. Et, pressentant ce que l’on nommera bientôt l’« ère du témoin », il photographie le premier rassemblement de survivants de la Shoah à Jérusalem en 1981. Membre depuis 1985 de la prestigieuse agence Magnum, il fait de nombreux reportages hors de France. Son activité le mène en Afrique du Sud en 1990 pour la libération de Nelson Mandela, où il assiste à une manifestation de partisans de l’apartheid, avec croix gammées et chemises brunes. Il parcourt le Chili en 1999 à la recherche des traces des camps de prisonniers politiques dans le désert d’Atacama. Du Rwanda en 2000, six ans après le génocide des Tutsis, il rapporte des portraits de survivants et des images d’ossuaires qui évoquent implacablement l’ampleur du crime de masse. La même année, il fait le voyage d’Auschwitz-Birkenau, où furent assassinés ses grands-parents paternels, et en revient avec des images glaçantes. En contrepoint, dans les années 2010, reparti en Pologne et en Ukraine, il prend des photographies inattendues et joyeuses des pèlerinages de juifs orthodoxes sur les tombes des fondateurs du hassidisme. Enfin, retournant aux origines de sa famille maternelle, il arpente l’Oranie et l’Est marocain pour retrouver les vestiges de ce judaïsme d’Afrique du Nord présent durant des temps immémoriaux, et qui constitue aujourd’hui au Maghreb un « monde disparu », à l’instar de celui de sa famille paternelle d’origine polonaise. Première grande exposition personnelle au mahJ d’un photographe vivant, « Voyages de mémoire » présente près de 300 œuvres de Patrick Zachmann, des années 1970 aux années 2015, dont de très nombreux inédits et un film, La Mémoire de mon père. Elles nous révèlent un regard humaniste posé sur le monde, nourri par l’expérience juive et donc habité par les questions universelles de l’exil, de la disparition et de l’oubli.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    Language: French
    Pages: 56 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2006
    Keywords: Konzentrationslager Weimar-Buchenwald ; Zeichnung ; Ausstellung ; Künstler
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    Language: French
    Pages: 197 Seiten, [1] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2011
    Keywords: Kunst ; Ausstellung ; Tanach
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
    ISBN: 3861021374
    Language: German
    Pages: 227 Seiten , Ill.
    Year of publication: 2005
    Keywords: Porträtfotografie ; Ausstellung ; 20. Jahrhundert
    Abstract: Kein Motiv ist so häufig fotografiert worden wie das menschliche Antlitz. Schon wenige Jahre nach Erfindung der Fotografie 1839 wurde es durch die Porträtateliers zum Hauptthema. Die Zeitschrift »Photographischer Correspondent« vermerkte bereits 1865: »Gegenwärtig ist es auch dem ärmeren Bürger möglich gemacht, seinen Nachkommen das getreue Bild seiner Gesichtszüge und seiner Person zu hinterlassen.« Ein Fotoalbum zu besitzen war bereits um 1900 verbreitet. In ihm fanden sich die Familien aus bürgerlichen Kreisen zu einem großen Gesellschaftspanorama zusammen. »Vielleicht waren die Photographien in den Alben unserer Väter und Großväter ehrlicher: die erkennbare Kulisse, die Künstlichkeit der Pose, der Komposition, des Arrangements war humaner als der Schnappschuss.« – so schrieb Heinrich Böll 1964, denn im Wort Schnappschuss seinen zwei Gewaltverben vereint: »schießen und zuschnappen.« Nach der dokumentarischen Leidenschaft der ersten Jahrzehnte, Bildnisse getreu nach dem Leben anzufertigen, tritt die Fotografie bald als Gestalter neuer Menschenbilder auf. Ihr gesellschaftlicher Einfluss auf Vorstellungen von emanzipatorischen oder ausgrenzenden Menschenbildern ist nicht zu unterschätzen. Die Porträtfotografie formt und beschreibt Höhen und Abgründe konkurrierender Menschenbilder in der Geschichte des 20. Jahrhunderts. »Der Aushängekasten des Photographen ist nicht der unsicherste Berater über die Kulturhöhe einer Stadt. Er zeigt die ästhetische Höhe, den Geschmack, die Selbstschätzung, die Wirkung der Zeitströmung, vor allem der Mode.« – so hieß es 1927 im »Hamburger Fremdenblatt«. Die in der Ausstellung gezeigten Porträts sind somit auch Ausdruck ihrer Epoche. Sie verweisen über sich selbst hinaus auf die Gesellschaft und auf das Leben im Kaiserreich, in der Weimarer Republik, unter der NS-Diktatur und auf die unterschiedlichen Verhältnisse im geteilten Deutschland. Obwohl die Porträts zunächst jeweils nur als Bildnis eines einzelnen Menschen erscheinen, geben sie im Kontext zueinander Kunde von wechselnden Menschenbildern. Für die gesellschaftliche Wirkung eines Porträts ist entscheidend, ob es zehn oder 10 000 Mal reproduziert wurde. Die Verbreitung ist letztlich Indikator für seine Leitbildfunktion. »Das Paradoxe an der Suche nach dem gültigen Menschenbild mit den Mitteln der Fotografie ist die Gewissheit, dass erst aus der zeitlichen Distanz das Eigentliche sichtbar wird« – schrieb Christoph Stölzl 1991 in einem Ausstellungskatalog des DHM: »Soziale Fotografien müssen altern, damit wir das Unwiederbringliche auf ihnen erkennen lernen.« Im chronologischen Verlauf der Ausstellung schaut man in über 550 Gesichter: Herausragende Einzelwerke finden sich vor allem in den 1920er Jahren mit Fotografien von Yva, Suse Byk, Lotte Jacobi, Germaine Krull, August Sander oder Anton Sahm (Foto oben). Mit größeren Fotoserien sind in der Ausstellung unter anderem vertreten: Emil Bieber, Walter Ballhause, Heinrich Hoffmann, Erna Lendvai-Dircksen, Liselotte Orgel-Köhne, Tita Binz, Yousuf Karsh, Edmund Kesting, Barbara Niggl Radloff, Stefan Moses, Michael Ruetz, Konrad R. Müller, Hans Martin Sewcz, Helga Paris, Richard Schulze-Vorberg, Gundula Schulze Eldowy und Angelika Kampfer. Am Ende der Ausstellung bietet ein voll funktionsfähiger Fotoautomat aus den 1960er Jahren die Möglichkeit, zur Erinnerung ein aktuelles Bild von sich selbst anfertigen zu lassen.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
    Language: German
    Year of publication: 2016
    Keywords: Kunst ; Ausstellung ; Schoa
    Abstract: Das Deutsche Historische Museum zeigt in Zusammenarbeit mit der Stiftung für Kunst und Kultur e.V. erstmals in Deutschland einhundert Kunstwerke aus der israelischen Gedenkstätte Yad Vashem. Als Abschluss des 50-jährigen Jubiläums der deutsch-israelischen Beziehungen ist die bis heute umfangreichste Präsentation aus der Sammlung des Yad Vashem außerhalb Israels als unschätzbares Zeichen der Freundschaft zu werten. Yad Vashem in Jerusalem ist der zentrale Ort des Gedenkens an die Shoah. Zentrale Aufgaben sind die museale Präsentation der Geschichte des Holocaust und deren wissenschaftliche Dokumentation. Die überwiegend grafischen Blätter in der Ausstellung stammen von Häftlingen aus verschiedenen Konzentrationslagern, Arbeitslagern und Ghettos und sind unter unmenschlichen Bedingungen im Geheimen entstanden. Sie zeugen von der Kraft des Geistes im Angesicht von Elend und Tod und dem Widerstreit zwischen der Wirklichkeit des Holocaust und einer imaginativen Gegenwelt. In einem kompromisslosen Akt des Widerstands zeichneten und malten die Künstlerinnen und Künstler unter Lebensgefahr. Einige schilderten deutlich die Grausamkeiten und Erniedrigungen, die sie erdulden mussten, andere widersetzten sich der fortschreitenden Entmenschlichung, indem sie das Individuelle und das innere Seelenleben betonten. Von den fünfzig präsentierten Künstlerinnen und Künstlern wurden 24 von den Nationalsozialisten ermordet. Neben größtenteils unbekannten Namen sind auch bekannte Künstler wie Felix Nussbaum oder Ludwig Meidner vertreten. Die Werke sind in der Ausstellung nach Themen gegliedert, die vom Porträt über die alltägliche Grausamkeit im Lager bis zur Erschaffung einer idyllischen Gegenrealität reichen. Ergänzt werden sie durch die Biografien der Künstler, die untrennbar mit den Werken verbunden sind. Eine Kooperation der Bonner Stiftung für Kunst und Kultur e. V., des Deutschen Historischen Museums und der israelischen Gedenkstätte Yad Vashem. Kuratoren sind Eliad Moreh-Rosenberg (Yad Vashem) und Walter Smerling (Stiftung für Kunst und Kultur e. V.). Die Ausstellung wurde initiiert durch den Medienpartner BILD und die Stiftung für Kunst und Kultur e. V. und ermöglicht durch die Förderung der Daimler AG und der Deutsche Bank AG.
    Note: Ausstellungs-Faltblatt
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 10
    Language: French
    Pages: 95 Seiten , Fotografien
    Year of publication: 2008
    Keywords: Israel ; Fotografie ; Ausstellung
    Abstract: Que dit l'uvre d'un artiste utilisant la photographie sur un pays où l'image est, plus qu'ailleurs, un enjeu politique ? Barry Frydlender, comme tétanisé par l̷usage qui fut fait de ce médium pendant la première Intifada (1987-1993), préféra d'abord y renoncer. Puis la découverte de ce que le travail numérique pouvait apporter à l'image, dans son décalage avec la réalité, lui permit de renouer avec la photographie en 1994. Dans une volte-face au travail de photojournalisme et au culte du bon cliché au bon moment, dû à un oeil providentiel, "the right man at the right place at the right time", Frydlender introduit patience et modestie dans la photographie. Dans ce qui est une question d'espace, il invite le temps. Il n'est pas le seul, bien sûr. Mais, dans "le bruit et la fureur" qui caractérisent la présentation d'Israël que nous livrent journaux et télévisions, la mise en image de la durée et du temps qui s'écoule confère une réelle étrangeté à ses oeuvres. Les formats panoramiques de Barry Frydlender sont trompeurs ; on pourrait y voir une fresque sociale d'Israël : des Juifs et des Arabes, des jeunes et des moins jeunes, des babas cool et des hassidim, des travailleurs immigrés et une jeunesse qui rêve d'indolence. Ses photographies, de groupe ou de foule, le plus souvent prises en extérieur, nous emmènent vers un objet inattendu. Tentons-nous d'embrasser l'ensemble, que notre regard, happé par telle physionomie, telle inscription, un objet perdu, un geste éloquent, commence à scruter, éplucher, parcourir lentement, examiner, comparer. Que se passet-il? Frydlender nous conduit vers le moment d'après, nous esquisse le paysage-autour : il contre l'instantané pour dérouler temps et espace, en abolir les limites. Le travail numérique, le collage, sur les dizaines, parfois les centaines de clichés qui composent le panorama, rusent avec l'immédiat : le soleil ne cesse de se coucher, les gens d'avancer, intérieurs et extérieurs subissent des extensions improbables qui nous donnent à voir plus que la réalité (Pitzutsiah). À la séduction indéniable de ses fresques aux couleurs attrayantes, qui semblent décrire une sorte de vie enjouée, Frydlender ajoute subrepticement sens multiples, ironie et inquiétude. Comme si le texte qui sous-tendait toutes ses photographies était un "où allons-nous ?" Une tension qu'il s'agit de dé-jouer se cache dans les moments saisis : le jeu des enfants, à la frontière invisible entre quartier juif et quartier arabe (Jaffa/Bat Yam), une réunion bucolique des Juifs ultra-orthodoxes hors contexte, hors de leur cadre naturel (Bénédiction), les jeunes dans la joie d'une sortie scolaire au musée de l'Armée, surpris par des torrents d'eau (Déluge). C'est dans un étirement de l̷espace, mais aussi dans la sédimentation photographique, que l'artiste insère cette réflexion sur le temps qui passe. Il crée une attente : il n'y a pas d'instant, le présent n'existe pas, si ce n'est dans un continuum, gros d'espoirs, gros aussi de menaces. Sédimentation de la mémoire photographique, extension de l'espace, absorption de la durée, les images de Barry Frydlender ne s'arrêtent pas là ; l'artiste est également un virtuose des signes jouant sur les rapprochements formels, sur les parallèles et les relectures du texte biblique dans un présent très profane. Ses photographies se jouent des mots, des noms, lancent des signaux qu'il nous invite à déchiffrer.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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