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  • French  (17)
  • Paris : Skira Flammarion  (11)
  • Paris : Éditions du Seuil  (6)
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  • 1
    ISBN: 2717718370
    Language: French
    Pages: 207 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 1991
    Keywords: Handschrift ; Ausstellung ; Hebräisch ; Frankreich
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Journal/Serial
    Journal/Serial
    Paris : Éditions du Seuil
    Language: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    Language: French
    Pages: 233 Seiten
    Year of publication: 1975
    Series Statement: L'univers historique
    Series Statement: L'univers historique
    Keywords: Geschichte ; Psychoanalyse
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    ISBN: 2081600730
    Language: French
    Pages: 63 Seiten , überw. Ill.
    Year of publication: 2001
    Keywords: Bibel
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    Language: French
    Pages: 119 Seiten , Illustrationen
    Additional Material: 2 carnets
    Year of publication: 2013
    Keywords: Kunst ; Ausstellung
    Abstract: Peuplée de juges, de gardiens de camps, de clowns, d̷inquisiteurs, de bourreaux, d'imbéciles - une humanité avilie ou terrorisée -, l'uvre de Maryan (Pinchas Burstein, 1927 - 1977) est puissante, tragique, grinçante, inclassable. Né en Pologne, à Nowy Sacz, en 192, Maryan passe son adolescence dans des ghettos, des camps de travail, des camps de concentration. Seul survivant de sa famille, il part en 1947 pour la Palestine et entre à l'école d'art Bezalel à Jérusalem, où il expose pour la première fois en 1949. L'année suivante, il se rend à Paris, étudie à l'École nationale supérieure des beaux-arts, dans l'atelier de Fernand Léger, et suit des cours de lithographie. Dès 1952, il expose à la galerie Breteau, puis, à partir de 1956, à la galerie de France, tout en participant à de nombreux salons et expositions collectives. En 1962, lassé du monde de l'art parisien, il s'installe à New York et devient citoyen américain. Il décède subitement, au Chelsea Hotel, en 1977. Dans les années 1950, sa peinture oscille entre une figuration cubisante, graphique et narquoise et une abstraction dans laquelle on devine des corps, des visages, des formes animales. À partir de 1960, ses personnages enfermés dans des boîtes cèdent la place à un carnaval de créatures, mi-hommes mi-animaux, incarnant pouvoir, autosatisfaction, dégoût, idiotie. Si sa peinture trouve à New York un environnement artistique où se déployer, cette liberté coïncide avec une fragilité grandissante, physique et mentale, de l'artiste. En 1971, sur les conseils de son psychanalyste, Maryan a recours au dessin pour expurger les visions qui l'obsèdent. Une année durant, il remplit à l'encre de Chine neuf carnets. Cet ensemble, sans équivalent, qu'il intitule Ecce homo sera présenté pour la première fois. Ils constituent le cur et la trame de l'exposition. Avec un humour désespéré et ravageur, il y revient sur son enfance, sur sa traversée de la guerre, qu'il accompagne de commentaires lapidaires dans un anglais mâtiné de français, de yiddish et de polonais. L'exposition n'est pas une rétrospective. Hormis un tableau clé de 1952, elle reprend les temps forts de l'uvre peint et dessiné de 1960 à 1977. Elle comprend, outre les carnets de 1971 - donnés par la veuve de l'artiste au musée national d'Art moderne, Centre Pompidou en 2012 -, vingt peintures et une quarantaine de dessins regroupés par séries. Des extraits du film Ecce homo, tourné au Chelsea Hotel en 1975, seront montrés dans le parcours. Ce projet, qui s'inscrit dans la lignée des découvertes ou redécouvertes proposées par le Mahj - celles des uvres de Bruno Schulz, de Salomon, de Felix Nussbaum -, a bénéficié de la participation du Centre Pompidou et du Spertus Institute de Chicago, ainsi que de prêts provenant du Fonds national d̷art contemporain, de galeries et de collections particulières, tant en France qu'en Europe.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    Language: French
    Pages: 159 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2009
    Keywords: Camondo, Familie ; Bankier ; Kunstsammler ; Philanthropie ; Ausstellung
    Abstract: La banque Camondo est fondée à Constantinople en 1802 par Salomon-Jacob Camondo et ses fils, Isaac et Abraham-Salomon. En 1832, à la mort d'Isaac, Abraham-Salomon hérite de la banque. Il édifiera l'une des plus grandes fortunes de l'Empire ottoman et sera secondé, à partir des années 1850, par ses petits-fils Abraham-Béhor et Nissim. Banquiers des vizirs, les Camondo participent au développement économique de la Turquie. Philanthropes, ils sont soucieux de s'investir fortement au sein de la communauté juive ottomane. Admirateurs des Lumières, ils veulent faire entrer les juifs de l'Empire dans la modernité par l'éducation et créent la première école juive enseignant les matières profanes en français et en turc. En 1864, ils co-fondent le comité régional de l'Alliance israélite universelle à Constantinople. En 1865 ils adoptent la nationalité italienne et s'engagent, par des dons généreux, dans la réunification menée par Victor Emmanuel II. Leur action leur vaudra d'être anoblis. En 1869-1870, la famille émigre à Paris et y transfère le siège social de la banque qui prend part à de nombreux projets tel le financement du canal de Suez. En 1872, les Camondo choisissent d'habiter la plaine Monceau.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    ISBN: 9782081241794
    Language: French
    Pages: 178 Seiten, [3] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2010
    Keywords: Ausstellung
    Abstract: Felix Nussbaum est un peintre moderne allemand, formé au temps de la "Nouvelle Objectivité" - et au contact des avant-gardes européennes des premières décennies du XXe siècle, notamment la pittura metafisica italienne, le surréalisme international, références qui l'unissent à quelques-uns de ses contemporains : Max Beckmann, Otto Dix, ou John Heartfield. Mais, avant tout, il incarne de façon saisissante le parcours d'un artiste que sa condition de juif persécuté ne laissera jamais en repos. Ce bourgeois juif allemand, d'une famille honorable, au talent soutenu par son père et reconnu par ses pairs, espoir de la jeune peinture, se retrouve, un jour de 1933, mis au ban de l'Académie, jeté sur les routes, sans retour. De critique de la bourgeoisie et de l'ordre établi, il devient le guetteur inquiet de la menace qui rôde. Il la rencontre désormais sous les traits de la révocation, de l'exil, de la guerre, de l'internement et de la clandestinité : les nouvelles dramatiques forment les étapes d'un processus dont l'issue ne fait pas de doute. Né en 1904, Felix Nussbaum étudie les arts décoratifs à Hambourg, puis les Beaux-Arts à Berlin ; lauréat de l'Académie allemande à Rome, il est pensionnaire à la Villa Massimo en 1932. L'arrivée d'Hitler au pouvoir le pousse sur le chemin d'un exil qui, après l'Italie, la Suisse et la France, le conduit à Ostende, en Belgique. Arrêté après la défaite de ce pays, le 10 mai 1940, en tant que ressortissant du Reich, il est interné au camp de Saint-Cyprien dans le sud de la France. Évadé, fugitif, il retourne à Bruxelles, où il demeure caché, avec son épouse Felka Platek, une artiste juive polonaise. Il est finalement déporté avec elle à Auschwitz, le 31 juillet 1944, et assassiné. Son uvre témoigne des influences qu'il revendique : le Douanier Rousseau, Van Gogh, Beckmann, Ensor, Chirico ; son goût pour l̷autoportrait, d'une part, et ses allégories de la Mort, d'autre part, le rattachent aux maîtres anciens flamands et allemands. L'exil et le danger le précipiteront dans une peinture existentialiste sur la condition du juif pourchassé, auquel il donnera une expression fascinante. Portraits et surtout autoportraits scandent l'uvre du peintre, évoquant ses interrogations, en tant qu'homme, fils, artiste, amant et proscrit ; Nussbaum use de symboles qui questionnent le pouvoir de l'art, et le rôle des modèles et des réalités auxquels il s'attache. Sa peinture forme à la fois une traversée de l'histoire de l'art ; une trame narrative et autobiographique, qui atteste d'un esprit d'une grande complexité ; et une fresque métaphysique d'une inquiétante étrangeté, qui décrit un monde conduit à sa destruction par la main de l'homme.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
    Book
    Book
    Paris : Skira Flammarion
    Language: French
    Pages: 239 Seiten
    Year of publication: 2011
    Keywords: Künstler ; Installation
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 9
    ISBN: 9782081360518
    Language: French
    Pages: 173 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2015
    Keywords: Magie ; Amulett ; Metallkunst ; Ausstellung ; Jüdisches Kunsthandwerk
    Abstract: « On ne doit pas croire les superstitions, mais il est [...] plus sûr de les respecter. » Yehoudah ben Samuel de Ratisbonne (vers 1150-1217), Le Livre des pieux Les traditions populaires du monde juif sont peuplées d’un cortège d’êtres surnaturels : les anges Métatron, Raziel, Raphaël et Gabriel, ou les anges médecins Sanoï, Sansanoï et Semangelof, redoutables protecteurs des hommes contre les puissances démoniaques conduites par Lilit ou Samaël. S’y manifestent aussi les dibbouks – ces esprits qui hantent le monde ashkénaze – ou le Golem créé par le Maharal de Prague au XVIe siècle. Ces êtres sont la part familière de croyances et de pratiques «magiques » destinées à la protection des accouchées et des nouveau-nés, du foyer, de la vie familiale, de la vie conjugale ou de la santé. Leur usage, mal connu, pour ne pas dire méprisé, souvent désigné par le terme de « Kabbale pratique » (Kabbalah ma’assit), regagne en vigueur aujourd’hui. Ces rites, transmis depuis l’Antiquité et souvent ancrés dans les textes religieux, sont mis en oeuvre par des Wunderrabbi dans le monde ashkénaze et des rabbins thaumaturges en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Au-delà du monde juif, ils ont largement influencé la culture occidentale. Paradoxalement, dans un univers religieux régi par la Torah, le Talmud et de nombreuses prescriptions rabbiniques, ces pratiques sont encore vivantes. Et, si l’on connaît bien leur fortune littéraire – les dibbouks inspirèrent à Shalom An-Ski une pièce fondamentale du théâtre yiddish ; Gustave Meyrink tira du mythe du Golem un roman qui irriguera l’imaginaire du XXe siècle ; quant à Lilit, elle est omniprésente dans l’art et la littérature depuis le XIXe siècle –, on ignore le plus souvent leurs sources. Avec plus de 300 oeuvres et documents, l’exposition « Magie. Anges et démons dans la tradition juive » présente de nombreux inédits provenant du Proche-Orient ancien, de l’Empire romain, de Byzance, de l’Empire ottoman, ainsi que d’Asie centrale, du Moyen-Orient, du Maghreb et du monde ashkénaze du Moyen Âge à nos jours : recueils de recettes, amulettes, colliers, pendentifs, hamsot, bracelets, vêtements contre le « mauvais oeil », bols incantatoires... Issus de collections publiques et privées, ils attestent la continuité jusqu’à nos jours des croyances dans la magie. S’appuyant sur les recherches les plus récentes des anthropologues, l’exposition traite le sujet dans une scénographie audacieuse. Elle éclaire les rapports des rabbins avec les kabbalistes pratiques et met en évidence le rôle des leaders spirituels dans la transmission du savoir magique. Elle montre comment les autorités religieuses ont encadré ces usages à défaut de pouvoir les interdire. Elle explore les échanges dans le monde gréco-romain, puis dans les pays chrétiens et musulmans depuis le Moyen Âge. Enfin, des témoignages montrent que la Kabbale pratique a toujours cours, tant en Israël que dans la diaspora, et notamment en France.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 10
    Book
    Book
    Paris : Skira Flammarion
    ISBN: 9782081365407 , 2081365405
    Language: French
    Pages: 600 Seiten , Ill.
    Year of publication: 2015
    Keywords: Göring, Hermann ; Inventar ; Kunstraub
    Abstract: La transcription du catalogue mentionnant l'intégralité des oeuvres d'art pillées par les nazis pour le compte de Goering, retrouvé dans les archives du Quai d'Orsay. Avec le récit de leur collecte, puis de leur destin après-guerre (tous les propriétaires n'ayant pas été retrouvés).
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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