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  • French  (48)
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  • Musée d'art et d'histoire du Judaïsme  (47)
  • Löbel, Josef
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  • 1
    ISBN: 285056429X
    Language: French
    Pages: 143 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2000
    Keywords: Künstlerin ; Kunsterzieherin ; Ausstellung
    Abstract: Cette artiste, née en 1898 à Vienne, formée au Bauhaus de Weimar, sous l'égide de Johannes Itten et de Paul Klee, a toujours mené de pair son oeuvre et une activité de pédagogue. Dans le cadre de l'atelier qu'elle crée à Berlin, en 1923, avec Franz Singer, elle conçoit des textiles, des bijoux, des livres reliés ; en 1926, elle devient une architecte en vue et réalise, à Prague, à Vienne et à Berlin, des bâtiments privés et des projets sociaux, dont un jardin d'enfants Montessori. En 1934, arrêtée pour activités communistes, elle émigre à Prague, où, rompant avec la tradition du Bauhaus, elle se tourne vers la peinture, exécutant portraits, paysages, natures mortes. En 1942, Friedl et son mari, Pavel Brandeis, sont déportés à Terezín. Elle se voue totalement et sans relâche à l'enseignement du dessin et de la peinture aux enfants. Transférée à Auschwitz le 6 octobre 1944, elle est assassinée le 9 à Birkenau. L'exposition, organisée par le Simon Wiesenthal Center/Museum of Tolerance de Los Angeles, est la première à présenter de façon exhaustive l'oeuvre de Friedl Dicker-Brandeis, connue jusqu'alors pour ses travaux au sein du Bauhaus ou qu'elle réalisa avec les enfants de TerezÌn. La manifestation rassemble des peintures, des pastels, des dessins, des gravures, des textiles, des études pour des costumes ou des décors de théâtre, des livres reliés, des projets de meubles ou d'aménagement intérieur, ainsi que les dessins des élèves de Friedl Dicker-Brandeis, en provenance du Getty Institute, du Musée juif de Prague, de l'École des arts appliqués et du musée d'Art moderne de Vienne ou des archives du Bauhaus de Berlin.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    ISBN: 2850568627
    Language: French
    Pages: 95 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2006
    Keywords: World ORT Union ; Fotografie ; Landwirtschaft ; Handwerk ; Osteuropäische Juden
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    Language: French
    Pages: 103 Seiten , überw. Ill.
    Year of publication: 2008
    Keywords: New Bauhaus ; Bauhaus ; Fotograf ; Ausstellung ; USA
    Abstract: The Musée d'art et d'histoire du Judaïsme is organising the first French retrospective of the photographer and designer Nathan Lerner, whose career was closely linked to the New Bauhaus school in Chicago. The son of Ukrainian Jewish immigrants, Lerner was born in Chicago in 1913 and while studying painting at the Art Institute began photographing the poor Maxwell Street district of the city from 1935. His photographs show us the America of the Depression years and the misery of the population of this immigrant district, many of whom were Jews from Eastern Europe. Lerner photographed these people with great empathy but not with the eye of a reporter. His concerns were primarily formal, particularly composition and framing. These social photographs are contemporary to those of Walker Evans, Helen Levitt and Dorothea Lange. On Archipenko̷s advice, Lerner enrolled at the New Bauhaus as soon as the school was opened by László Moholy-Nagy in 1937. He met Arthur Siegel and Harry Callahan there, and immediately began experimenting with abstract photography, using a light box to created compositions of everyday objects, ĺlight drawings̷ and photogrammes. He assisted György Kepes in the Light workshop from 1939 until he took over from him in 1941. In late 1945, Moholy-Nagy asked him to direct the teaching of technical drawing at the school (which had been renamed the School of Design). In 1946, he became the school̷s dean then director of studies. In 1949, he left the school, distanced himself from photography and set up a design studio, Lerner Design Associates, specialised in consumer items: packages and bottles, toys and ĺassemble-yourself̷ furniture. He also designed a modular house, which he built himself in 48 hours in 1951, and the familiar plastic ̮HoneybearŁ jar, one of American marketing̷s most emblematic objects. In 1968, he married the pianist Kiyoko Asai, who introduced him to Japan, and from 1973, there were several exhibitions of his work in the United States, Berlin and Japan. Nathan Lerner died in 1997. This exhibition was made possible by the generosity of his wife, Kiyoko Lerner, who donated a major collection of his photographs to the Musée d'art et d'histoire du Judaïsme. This event has also been an opportunity to recall that Nathan and Kiyoko Lerner protected and revealed the unique and unclassifiable work of Henry Darger, one of the major figures of American Art Brut.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
  • 5
    Language: French
    Pages: 197 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2012
    Keywords: Orientalismus ; Ausstellung ; Juden
    Abstract: La route vers l'Orient qu'empruntent les artistes au début du XIXe siècle leur donne l'occasion de découvrir les communautés juives des rives méditerranéennes. Cette rencontre inattendue offre un visage pittoresque à cet Orient souvent rêvé avant d'être visité. Eugène Delacroix au Maroc, Théodore Chassériau en Algérie emplissent leurs carnets d'esquisses de figures juives, qui nourriront de grandes toiles; la Noce juive de Delacroix (1841) occupe ici une place inaugurale. Au-delà de l'Afrique du Nord, le périple en Terre sainte est porteur d'enjeux plus symboliques. Mû par des aspirations religieuses et une nouvelle curiosité archéologique, qui s'applique de l'Égypte à la Mésopotamie, l'Occident poursuit au Proche-Orient une quête de ses origines. Les vues de Jérusalem de peintres tels que David Roberts ou Thomas Seddon traduisent ces recherches. Les empreintes des mondes juif, musulman et chrétien se fondent alors dans une peinture biblique renouvelée. Un Bédouin devant sa tente incarne une belle figure d'Abraham chez Horace Vernet, tandis qu'une synagogue de Jérusalem abrite un Jésus prêchant chez Tissot ou Hunt. L'"orientalisation" de la Bible est particulièrement sensible dans l'illustration d'épisodes ayant pour cadre l'Égypte (Joseph) ou la Perse (Esther), et tire parti des connaissances nouvelles sur l'Antiquité. Dans un contexte où est échue à la peinture la mission d'écrire l'histoire nationale, l'uvre de quelques artistes juifs européens s̷inscrit aussi dans une problématique identitaire. Ainsi pourra-t-on lire le thème de l'exil à Babylone réinterprété comme une matrice emblématique de l'histoire de la dispersion juive, pour Eduard Bendemann ou Henri-Léopold Lévy. Mais on retiendra surtout l'uvre fulgurante de Maurycy Gottlieb, qui interroge l'histoire juive au miroir de la littérature, ou du christianisme dans sa peinture Le Christ devant ses juges. Enfin, dans le cadre du projet sioniste promu par Theodor Herzl, en réaction à l'antisémitisme qui se répand en Europe, l'idée d'un "État des Juifs" en Palestine s'accompagne très vite d'une dimension artistique. Au sein de l'École d'art et d'artisanat de Bezalel, et au-delà, les artistes cherchent à élaborer une continuité entre Antiquité biblique et Orient contemporain, et à renouer avec une identité juive orientale. L'exposition présente des uvres d'Eugène Delacroix, Théodore Chassériau, Alfred Dehodencq, Jean Lecomte du Nouÿ, Wilhelm Gentz, Charles Cordier, Lucien Lévy-Dhurmer, David Roberts, Thomas Seddon, Jean-Léon Gérôme, Gustav Bauernfeind, Alexandre Bida, Gustave Moreau, Alexandre Cabanel, Horace Vernet, Lawrence Alma-Tadema, William Holman Hunt, James Tissot, Maurycy Gottlieb, Lesser Ury, Zeev Raban, Ephraïm Moses Lilien, Abel Pann, Reuven Rubin, Nahum Gutman...
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 6
    Language: French
    Pages: 32 Seiten , zahlr. Ill.
    Year of publication: 2012
    Keywords: Algerien
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    Language: French
    Pages: 95 Seiten , Fotografien
    Year of publication: 2008
    Keywords: Israel ; Fotografie ; Ausstellung
    Abstract: Que dit l'uvre d'un artiste utilisant la photographie sur un pays où l'image est, plus qu'ailleurs, un enjeu politique ? Barry Frydlender, comme tétanisé par l̷usage qui fut fait de ce médium pendant la première Intifada (1987-1993), préféra d'abord y renoncer. Puis la découverte de ce que le travail numérique pouvait apporter à l'image, dans son décalage avec la réalité, lui permit de renouer avec la photographie en 1994. Dans une volte-face au travail de photojournalisme et au culte du bon cliché au bon moment, dû à un oeil providentiel, "the right man at the right place at the right time", Frydlender introduit patience et modestie dans la photographie. Dans ce qui est une question d'espace, il invite le temps. Il n'est pas le seul, bien sûr. Mais, dans "le bruit et la fureur" qui caractérisent la présentation d'Israël que nous livrent journaux et télévisions, la mise en image de la durée et du temps qui s'écoule confère une réelle étrangeté à ses oeuvres. Les formats panoramiques de Barry Frydlender sont trompeurs ; on pourrait y voir une fresque sociale d'Israël : des Juifs et des Arabes, des jeunes et des moins jeunes, des babas cool et des hassidim, des travailleurs immigrés et une jeunesse qui rêve d'indolence. Ses photographies, de groupe ou de foule, le plus souvent prises en extérieur, nous emmènent vers un objet inattendu. Tentons-nous d'embrasser l'ensemble, que notre regard, happé par telle physionomie, telle inscription, un objet perdu, un geste éloquent, commence à scruter, éplucher, parcourir lentement, examiner, comparer. Que se passet-il? Frydlender nous conduit vers le moment d'après, nous esquisse le paysage-autour : il contre l'instantané pour dérouler temps et espace, en abolir les limites. Le travail numérique, le collage, sur les dizaines, parfois les centaines de clichés qui composent le panorama, rusent avec l'immédiat : le soleil ne cesse de se coucher, les gens d'avancer, intérieurs et extérieurs subissent des extensions improbables qui nous donnent à voir plus que la réalité (Pitzutsiah). À la séduction indéniable de ses fresques aux couleurs attrayantes, qui semblent décrire une sorte de vie enjouée, Frydlender ajoute subrepticement sens multiples, ironie et inquiétude. Comme si le texte qui sous-tendait toutes ses photographies était un "où allons-nous ?" Une tension qu'il s'agit de dé-jouer se cache dans les moments saisis : le jeu des enfants, à la frontière invisible entre quartier juif et quartier arabe (Jaffa/Bat Yam), une réunion bucolique des Juifs ultra-orthodoxes hors contexte, hors de leur cadre naturel (Bénédiction), les jeunes dans la joie d'une sortie scolaire au musée de l'Armée, surpris par des torrents d'eau (Déluge). C'est dans un étirement de l̷espace, mais aussi dans la sédimentation photographique, que l'artiste insère cette réflexion sur le temps qui passe. Il crée une attente : il n'y a pas d'instant, le présent n'existe pas, si ce n'est dans un continuum, gros d'espoirs, gros aussi de menaces. Sédimentation de la mémoire photographique, extension de l'espace, absorption de la durée, les images de Barry Frydlender ne s'arrêtent pas là ; l'artiste est également un virtuose des signes jouant sur les rapprochements formels, sur les parallèles et les relectures du texte biblique dans un présent très profane. Ses photographies se jouent des mots, des noms, lancent des signaux qu'il nous invite à déchiffrer.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
  • 9
    Language: French
    Pages: 159 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2009
    Keywords: Camondo, Familie ; Bankier ; Kunstsammler ; Philanthropie ; Ausstellung
    Abstract: La banque Camondo est fondée à Constantinople en 1802 par Salomon-Jacob Camondo et ses fils, Isaac et Abraham-Salomon. En 1832, à la mort d'Isaac, Abraham-Salomon hérite de la banque. Il édifiera l'une des plus grandes fortunes de l'Empire ottoman et sera secondé, à partir des années 1850, par ses petits-fils Abraham-Béhor et Nissim. Banquiers des vizirs, les Camondo participent au développement économique de la Turquie. Philanthropes, ils sont soucieux de s'investir fortement au sein de la communauté juive ottomane. Admirateurs des Lumières, ils veulent faire entrer les juifs de l'Empire dans la modernité par l'éducation et créent la première école juive enseignant les matières profanes en français et en turc. En 1864, ils co-fondent le comité régional de l'Alliance israélite universelle à Constantinople. En 1865 ils adoptent la nationalité italienne et s'engagent, par des dons généreux, dans la réunification menée par Victor Emmanuel II. Leur action leur vaudra d'être anoblis. En 1869-1870, la famille émigre à Paris et y transfère le siège social de la banque qui prend part à de nombreux projets tel le financement du canal de Suez. En 1872, les Camondo choisissent d'habiter la plaine Monceau.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 10
    ISBN: 9782081241794
    Language: French
    Pages: 178 Seiten, [3] Blatt , Illustrationen
    Year of publication: 2010
    Keywords: Ausstellung
    Abstract: Felix Nussbaum est un peintre moderne allemand, formé au temps de la "Nouvelle Objectivité" - et au contact des avant-gardes européennes des premières décennies du XXe siècle, notamment la pittura metafisica italienne, le surréalisme international, références qui l'unissent à quelques-uns de ses contemporains : Max Beckmann, Otto Dix, ou John Heartfield. Mais, avant tout, il incarne de façon saisissante le parcours d'un artiste que sa condition de juif persécuté ne laissera jamais en repos. Ce bourgeois juif allemand, d'une famille honorable, au talent soutenu par son père et reconnu par ses pairs, espoir de la jeune peinture, se retrouve, un jour de 1933, mis au ban de l'Académie, jeté sur les routes, sans retour. De critique de la bourgeoisie et de l'ordre établi, il devient le guetteur inquiet de la menace qui rôde. Il la rencontre désormais sous les traits de la révocation, de l'exil, de la guerre, de l'internement et de la clandestinité : les nouvelles dramatiques forment les étapes d'un processus dont l'issue ne fait pas de doute. Né en 1904, Felix Nussbaum étudie les arts décoratifs à Hambourg, puis les Beaux-Arts à Berlin ; lauréat de l'Académie allemande à Rome, il est pensionnaire à la Villa Massimo en 1932. L'arrivée d'Hitler au pouvoir le pousse sur le chemin d'un exil qui, après l'Italie, la Suisse et la France, le conduit à Ostende, en Belgique. Arrêté après la défaite de ce pays, le 10 mai 1940, en tant que ressortissant du Reich, il est interné au camp de Saint-Cyprien dans le sud de la France. Évadé, fugitif, il retourne à Bruxelles, où il demeure caché, avec son épouse Felka Platek, une artiste juive polonaise. Il est finalement déporté avec elle à Auschwitz, le 31 juillet 1944, et assassiné. Son uvre témoigne des influences qu'il revendique : le Douanier Rousseau, Van Gogh, Beckmann, Ensor, Chirico ; son goût pour l̷autoportrait, d'une part, et ses allégories de la Mort, d'autre part, le rattachent aux maîtres anciens flamands et allemands. L'exil et le danger le précipiteront dans une peinture existentialiste sur la condition du juif pourchassé, auquel il donnera une expression fascinante. Portraits et surtout autoportraits scandent l'uvre du peintre, évoquant ses interrogations, en tant qu'homme, fils, artiste, amant et proscrit ; Nussbaum use de symboles qui questionnent le pouvoir de l'art, et le rôle des modèles et des réalités auxquels il s'attache. Sa peinture forme à la fois une traversée de l'histoire de l'art ; une trame narrative et autobiographique, qui atteste d'un esprit d'une grande complexité ; et une fresque métaphysique d'une inquiétante étrangeté, qui décrit un monde conduit à sa destruction par la main de l'homme.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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