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  • 2005-2009  (4)
  • Musée d'art et d'histoire du Judaïsme  (4)
  • Paris  (4)
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Year
  • 1
    Language: French
    Pages: 103 Seiten , überw. Ill.
    Year of publication: 2008
    Keywords: New Bauhaus ; Bauhaus ; Fotograf ; Ausstellung ; USA
    Abstract: The Musée d'art et d'histoire du Judaïsme is organising the first French retrospective of the photographer and designer Nathan Lerner, whose career was closely linked to the New Bauhaus school in Chicago. The son of Ukrainian Jewish immigrants, Lerner was born in Chicago in 1913 and while studying painting at the Art Institute began photographing the poor Maxwell Street district of the city from 1935. His photographs show us the America of the Depression years and the misery of the population of this immigrant district, many of whom were Jews from Eastern Europe. Lerner photographed these people with great empathy but not with the eye of a reporter. His concerns were primarily formal, particularly composition and framing. These social photographs are contemporary to those of Walker Evans, Helen Levitt and Dorothea Lange. On Archipenko̷s advice, Lerner enrolled at the New Bauhaus as soon as the school was opened by László Moholy-Nagy in 1937. He met Arthur Siegel and Harry Callahan there, and immediately began experimenting with abstract photography, using a light box to created compositions of everyday objects, ĺlight drawings̷ and photogrammes. He assisted György Kepes in the Light workshop from 1939 until he took over from him in 1941. In late 1945, Moholy-Nagy asked him to direct the teaching of technical drawing at the school (which had been renamed the School of Design). In 1946, he became the school̷s dean then director of studies. In 1949, he left the school, distanced himself from photography and set up a design studio, Lerner Design Associates, specialised in consumer items: packages and bottles, toys and ĺassemble-yourself̷ furniture. He also designed a modular house, which he built himself in 48 hours in 1951, and the familiar plastic ̮HoneybearŁ jar, one of American marketing̷s most emblematic objects. In 1968, he married the pianist Kiyoko Asai, who introduced him to Japan, and from 1973, there were several exhibitions of his work in the United States, Berlin and Japan. Nathan Lerner died in 1997. This exhibition was made possible by the generosity of his wife, Kiyoko Lerner, who donated a major collection of his photographs to the Musée d'art et d'histoire du Judaïsme. This event has also been an opportunity to recall that Nathan and Kiyoko Lerner protected and revealed the unique and unclassifiable work of Henry Darger, one of the major figures of American Art Brut.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Language: French
    Pages: 52 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2007
    Keywords: Comic ; Ausstellung
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    Language: French
    Pages: 56 Seiten , Illustrationen
    Year of publication: 2006
    Keywords: Konzentrationslager Weimar-Buchenwald ; Zeichnung ; Ausstellung ; Künstler
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Language: French
    Pages: 95 Seiten , Fotografien
    Year of publication: 2008
    Keywords: Israel ; Fotografie ; Ausstellung
    Abstract: Que dit l'uvre d'un artiste utilisant la photographie sur un pays où l'image est, plus qu'ailleurs, un enjeu politique ? Barry Frydlender, comme tétanisé par l̷usage qui fut fait de ce médium pendant la première Intifada (1987-1993), préféra d'abord y renoncer. Puis la découverte de ce que le travail numérique pouvait apporter à l'image, dans son décalage avec la réalité, lui permit de renouer avec la photographie en 1994. Dans une volte-face au travail de photojournalisme et au culte du bon cliché au bon moment, dû à un oeil providentiel, "the right man at the right place at the right time", Frydlender introduit patience et modestie dans la photographie. Dans ce qui est une question d'espace, il invite le temps. Il n'est pas le seul, bien sûr. Mais, dans "le bruit et la fureur" qui caractérisent la présentation d'Israël que nous livrent journaux et télévisions, la mise en image de la durée et du temps qui s'écoule confère une réelle étrangeté à ses oeuvres. Les formats panoramiques de Barry Frydlender sont trompeurs ; on pourrait y voir une fresque sociale d'Israël : des Juifs et des Arabes, des jeunes et des moins jeunes, des babas cool et des hassidim, des travailleurs immigrés et une jeunesse qui rêve d'indolence. Ses photographies, de groupe ou de foule, le plus souvent prises en extérieur, nous emmènent vers un objet inattendu. Tentons-nous d'embrasser l'ensemble, que notre regard, happé par telle physionomie, telle inscription, un objet perdu, un geste éloquent, commence à scruter, éplucher, parcourir lentement, examiner, comparer. Que se passet-il? Frydlender nous conduit vers le moment d'après, nous esquisse le paysage-autour : il contre l'instantané pour dérouler temps et espace, en abolir les limites. Le travail numérique, le collage, sur les dizaines, parfois les centaines de clichés qui composent le panorama, rusent avec l'immédiat : le soleil ne cesse de se coucher, les gens d'avancer, intérieurs et extérieurs subissent des extensions improbables qui nous donnent à voir plus que la réalité (Pitzutsiah). À la séduction indéniable de ses fresques aux couleurs attrayantes, qui semblent décrire une sorte de vie enjouée, Frydlender ajoute subrepticement sens multiples, ironie et inquiétude. Comme si le texte qui sous-tendait toutes ses photographies était un "où allons-nous ?" Une tension qu'il s'agit de dé-jouer se cache dans les moments saisis : le jeu des enfants, à la frontière invisible entre quartier juif et quartier arabe (Jaffa/Bat Yam), une réunion bucolique des Juifs ultra-orthodoxes hors contexte, hors de leur cadre naturel (Bénédiction), les jeunes dans la joie d'une sortie scolaire au musée de l'Armée, surpris par des torrents d'eau (Déluge). C'est dans un étirement de l̷espace, mais aussi dans la sédimentation photographique, que l'artiste insère cette réflexion sur le temps qui passe. Il crée une attente : il n'y a pas d'instant, le présent n'existe pas, si ce n'est dans un continuum, gros d'espoirs, gros aussi de menaces. Sédimentation de la mémoire photographique, extension de l'espace, absorption de la durée, les images de Barry Frydlender ne s'arrêtent pas là ; l'artiste est également un virtuose des signes jouant sur les rapprochements formels, sur les parallèles et les relectures du texte biblique dans un présent très profane. Ses photographies se jouent des mots, des noms, lancent des signaux qu'il nous invite à déchiffrer.
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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